Gagner du temps

On perd tellement de temps à faire des choses qui nous usent…

Voici quelques exemples de perte de temps :

  • effectuer plusieurs choses en même temps,
  • ne pas s’accorder de pause,
  • les diverses notifications en tout genre,
  • la procrastination,
  • les pages de publicités à la télévision et à la radio,
  • dire oui quand on pense non,
  • dire oui quand l’agenda ne le permet pas,
  • ne pas s’entourer des bonnes personnes,
  • refuser de déléguer,
  • s’obstiner à continuer lorsque l’on est épuisé,
  • ne pas planifier et/ou foncer sans réfléchir,

A quelle fréquence prenez-vous du temps pour vous ?

Comment se porte votre agenda ?

Quelle(s) tâche et habitude(s) mériteraient d’être revisitée(s) au quotidien ? À l’hebdomadaire ? Mensuellement ?

Une bonne gestion des limites et des priorités sont des incontournables pour l’optimisation de votre temps.

Trier le futile de l’indispensable, nous permet de se rapprocher de l’utile à l’agréable !

(S)tresser – Dé(s)tresser

Depuis quelques mois, je pratique la danse polynésienne.

En vacances quelques jours, j’en profite pour avancer dans la fabrication de mes costumes de danse pour le gala annuel.

En effet, cette année, chaque danseuse sera parée de quatre tenues différentes composées d’un more et/ou d’un paréo, d’un tapeatiti, des taihairis, d’une coiffe, d’un collier confectionnés par ses soins.

C’est un investissement de temps et une opportunité que je mets à profit pour continuer mon travail sur moi.

Je vous partage la tresse à 6 brins qui sera fixée sur une coiffe.

Je suis enchantée de cette expérience qui malgré tout m’a parfois fait déchanter dans la gestion de mes émotions et m’a donné du fil à retordre.

Finalement, la tresse et le stress terminés, je suis ravie de ne pas avoir abandonné mes efforts. Elle résume bien des émotions : avoir peur de se tromper, affronter sa peur et se lancer. Se tromper et se juger, (s)tresser, dé(s)tresser. Faire une pause, prendre du recul. Poursuivre, se tromper dans la compassion. Prendre confiance en soi et ne plus se juger, devenir bienveillante et aller au bout des choses. Pour finalement être en gratitude. Et puis lâcher prise, à l’image de soi, accepter que les choses soient parfaites avec leurs imperfections.

Cette tresse est aussi un message pour me rappeler à quel point tout ne tient qu’à un fil dans la vie.

Désormais, une autre aventure m’attend : apprendre à manier les taihiris (les pompons de poignet) 😀 Que du bonheur !

Et voilà que c’est le pompon maintenant, j’ai peur de ne pas y arriver 😉

Je vous souhaite d’oser oser et de réussir.

Marie Pauppins

Les sens, l’essence de la vie

Pour la bonne compréhension des jeux de mots et des doubles sens, je me permets exceptionnellement de vous tutoyer respectueusement un court instant. Merci de votre compréhension.

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Arrête de penser que tu es trop ou pas assez.

Arrête de te comparer aux autres, tu es unique et merveilleux.

Arrête de faire semblant, sois authentique.

Arrête de chercher la perfection et épouse ce qui te fait défaut.

Arrête de te mentir, vis ta vérité et accepte que tout le monde a sa vision des choses.

Arrête de jouer un rôle, prend la première place dans ta vie.

Nettoie ton passé et né toi pour un meilleur futur.

Arrête de te couper de ton essence. Donne naissance à tes projets, à tes enfants en te connectant à tes sens.

L’attention que tu accordes aux choses, aux gens et à toi donnent un sens à tes pensées. Est-ce que tu éprouves de la reconnaissance pour les choses simples de la vie ou tu te sens éprouvé ?

Peut-on avancer sans ses sens ? J’ai essayé d’avancer mon véhicule sans essence, il est tombé en panne. Mon garagiste m’a dit que c’était une question de bon sens.

Continue à donner un sens à tes projets, à ta vie.

Peut on renaître grâce à ses sens ?

Le printemps arrive. Il correspond à la période de la renaissance de la nature.

A cette occasion, je vous mets un exercice pour vous harmoniser avec vos sens. Celui-ci est à réaliser de préférence assis, adosser à un arbre avec un tronc bien solide et droit près d’une rivière, dans la forêt… Assurez-vous que vous ne serez pas dérangé par les passants, vos enfants et animaux de manière à vivre pleinement le moment. Dans ce contexte, j’envoie toute ma compassion aux personnes avec un handicap qui amoindrit ou prive d’un sens.

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Prenez le temps de vous connecter cinq minutes à chacun vos sens en vous inspirant des idées ci-dessous.

Regardez la lumière du jour, du soleil sur les fleurs et/ou les feuilles des arbres. Observez les nervures de l’arbre. Regardez également les jeux d’ombre et de lumière autour de vous. Observez les nuages et leur parcours dans le ciel. Considérez visuellement la texture de l’herbe, de la terre… Mettez toute votre attention dans l’acte de regarder.

Maintenant portez longuement votre attention sur vos oreilles. Écoutez le vent dans l’arbre, les oiseaux, le bruit des insectes et le silence.

Puis concentrez votre attention sur votre sens du toucher. Sentez la température de vos joues, de vos mains… Ôtez vos chaussures et posez vos pieds sur le sol mou ou au contraire ferme. Sentez les points de contact de votre corps. Les pieds sur la terre, votre dos contre le tronc puis vos mains qui caressent le sol.

Sentez l’odeur de l’herbe, de la terre, le doux parfum des feuilles ou des fleurs… Prenez un moment pour porter votre attention sur votre odorat.

Ensuite, le goût. Entrouvrez votre bouche et prenez le temps de respirer l’air frais. Découvrez le goût de l’air frais qui active la salivation.

La vie est un jeu de société

Un après-midi où je me sentais frustrée de quitter mon enfance, allongée dans l’herbe fraîche du jardin, je réfléchissais au sérieux de la vie. Après quelques heures de flâneries et de badinages tout en observant les nuages sur un fond de ciel bleu, je décidais, que tout compte fait, la vie était un jeu et que je voulais continuer à m’amuser.

Je fis donc l’inventaire des jeux de société pour  lesquels je m’apprêtais à jouer.

A l’image du jeu des sept familles, la vie est un jeu de drôle en famille où je passe du rôle de fille, mère puis grand-mère.

La vie est un Monopoly où je paie mon loyer au risque d’être remercier.

La vie est un jeu de Lego où je construis mon ego. La vie me met au tapis, je le reconstruis pour être plus robuste. Et le ‘ je ‘ garde le rôle principal.

La vie est un jeu de mots où parler et écrire apaisent ou accentuent les maux.

La vie est un jeu d’échec qui à force de persévérance mène au jeu de la réussite.

La vie est un jeu de cache-cache entre l’ombre et la lumière. J’aurai beau tenter de briller de mille feux, mon ombre ne cessera pas de me poursuivre.

La vie est un jeu d’actions et de vérités. A moi de voir si je souhaite jouer franc jeu ou adopter un double jeu. 

La vie est un jeu du destin que je peux écrire chaque jour ou subir en accusant la fatalité…

Dans ces jeux, les enjeux sont tels qu’il est nécessaire d’apprendre à tirer mon épingle du jeu sans forcément être tirée à quatre épingles.

Un rayon de soleil me sortit de ma rêverie enfantine.

Je pris donc le parti de jouer à ce défi fou et d’être de la partie. C’est alors que j’ai pris la résolution tout en observant le ciel :

– de révoquer ma peur d’être une adulte en prenant l’engagement de toujours m’occuper de cette petite fille que j’étais, je suis et je serai,

– de prendre soin de mon corps comme on prend soin d’une maison ou d’un temple,

– d’écouter les maux de ma colère, 

– de continuer à m’amuser dans la vie, 

– de refuser de rejouer le même rôle que ma mère et que mes grand-mères et mes aïeux,

– de prendre la responsabilité de mes joies.

Et voilà c’est arrivé ainsi. Par un bel après-midi, j’ai convoqué : l’amour, la simplicité et l’authenticité dans ma vie. 

Il m’a semblé qu’un nuage avait dessiné un cygne et que le ciel m’avait souri. Comme pour valider mes choix et me répondre que le chemin serait jonché de croyances, de préjugés et de jugements mais que le jeu en vaut la chandelle.

Trouver son inspiration

Nous avons tous nos contes favoris qu’un membre de notre famille, un professeur, un proche nous a transmis avec une morale en filigrane. Ces histoires nous délivrent un bon conseil, une solution car c’est en fait un message de sagesse, un acte de bonté, une porte de sortie ou une originalité de penser.

Elles sont des trésors quand un coup du sort, un défi vient frapper à notre porte. Elles nous aident à nous débarrasser de certaines situations, des relations dont nous n’avons plus besoin pour le plus grand bien de soi. Elles nous guident dans notre posture, nous donnent du courage et nous inspirent tout en nous laissant la liberté de penser.

Les inspirations se concrétisent souvent suite à un élan du cœur ou une intuition.

Ma pratique du moment est d’inspirer le positif et d’expirer le négatif.

Je vous souhaite de trouver ou conserver votre inspiration.

Pourquoi faites-vous les choses ?

Pourquoi faites vous les choses ? Pour être utile, pour vous ou pour attirer le regard ? Le mieux est d’agir sans attente et en harmonie avec soi.

Le plus bel exemple, est celui du soleil. Mais souvent, surtout l’hiver, il passe inaperçu. D’ailleurs avez-vous pris un instant pour le rergarder aujourd’hui ?

Tout ça pour vous dire, que si vous avez l’impression que vos efforts sont vains, que personne ne voit ce qui pour vous a le plus de sens : continuez le soleil brille tous les matins, c’est devenu une normalité et il ne s’en offusque pas.

Alors, soyez authentique et vivez selon votre vérité !

N’ayez pas peur de la critique, des moqueries et du rejet… Soyez votre meilleur ami. Un partenaire avec qui vous passez toute ta vie.

Ne cherchez pas la compréhension et l’acceptation chez les autres. Soyez compréhensif vis à vis de vos doutes, de vos peurs, de vos défauts. Vivez dans l’acceptation et la validation de vos envies et de ce qui est juste pour vous. Ne donnez pas ce pouvoir aux autres. Gardez bien votre self-contrôle. Veillez à être bon pour vous et les autres, de vous féliciter pour les peines auxquelles vous avez survécues, d’être en gratitude pour les murs franchis et affranchissez vous : osez !

Quittez votre passé : dépassez vous. Regardez votre futur avec toutes les belles choses qui vous restent à venir. Ainsi votre avenir sera plein de beaux souvenirs.
Épousez vos émotions, posez les larmes et les armes. Voyez cette personne aguerrie ou l’enfance que vous avez guéri.

Et tant pis si les autres ne comprennent pas ; si le message n’est pas compris par quelqu’un c’est qu’il est destiné à un autre qui sera l’accueillir comme il se doit.

Qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il neige votre âme est le rayon de soleil de votre vie.

A présent, surveillez vos pensées qu’elles soient le plus positives possible.

Etre ou ne pas être en amour, telle est la question !

Quand deux personnes sont amoureuses, elles se chuchotent des mots d’amour. Leurs cœurs sont en harmonie. Quand deux personnes sont en colère, elles se disputent, le ton monte et se crient dessus. Leurs cœurs sont en disharmonie. La relation est coupée.

Un enfant choyé a une enfance épanouie et développe de l’estime de soi. Un enfant maltraité a une enfance malheureuse et connait les raisins de la colère.

Lorsqu’un homme est amoureux d’une femme, il lui offre des fleurs. Lors d’une scène de ménage, il casse le vase des fleurs.

Un poète en amour avec son âme écrit des beaux alexandrins. Alors qu’un poète en colère devient incapable d’aligner deux vers et froisse ou déchire son papier.

Une femme en amour développe sa créativité et son intuition, dit des belles paroles. Une femme en colère accuse, critique parfois jusqu’à l’insulte.

Un homme près de son âme prend soin des animaux et de la terre. Un homme en colère en veut à la terre entière et part en guerre avec un désir de vengeance.

Une personne en amour fait tout en douceur. Une personne en colère a tendance à blesser pour annihiler sa douleur.

L’amour nous rempli de Soi ; la colère vide l’âme de toute ressource.

Une personne qui s’aime prend soin de sa santé et est empathique. Une personne en colère contre elle néglige sa santé et peut développer une maladie hépatique.

Et pour finir la colère est mauvaise conseillère. Il est d’ailleurs conseillé de ne pas prendre une décision sur un coup de tête lorsque nous sommes sous son emprise.

Mais attention, l’amour comme la colère à des degrés extrêmes peuvent biaiser la réalité, rendre aveugle.

Si cela n’est pas déjà fait, je souhaite de trouver la sérénité qui sommeille en vous.

Face à l’indifférence d’une personne, faites la différence

Il n’est pas toujours facile de faire face à l’indifférence car une personne indifférente est un mangeur d’énergie. En effet, celle-ci peut nous renvoyer à nos doutes, nos questionnements, nos sentiments de solitude et culpabilité. Ce qui active ou réactive notre blessure de rejet et/ou d’abandon.

Selon moi, la meilleure des solutions est de se sauver en courant et de couper tous les liens dans ce genre de relation. Mais cette personne est parfois un collègue ou un membre de la famille… Nous sommes donc bien obligés de nous adapter.

C’est pourquoi, il est important d’apprendre à identifier les personnes comme telle pour stopper la fuite énergétique et prendre soin de notre énergie.

En parallèle, panser ses blessures de l’âme est un merveilleux cadeau à offrir à son enfant blessé. C’est à la fois un long, périlleux et merveilleux voyage vers soi avec ses hauts et ses bas, son lot d’espoir et de désespoir qui chaque jour nous rapproche un peu plus près de notre être.

Panser ses blessures de l’âme, c’est penser à soi pour finalement dépenser moins d’énergie une fois le changement installé.

Et petit à petit, nous observons un mieux-être, un respect de soi. Parfois ne pouvant plus appuyer sur une faille, le mangeur d’énergie change de comportement à notre égard. Parfois, rien ne change dans la relation mais notre estime de nous grandit et nous permet d’aborder le différend en prenant du recul et de la hauteur. Pour finalement, accepter que nous avons beau faire de notre mieux, nous ne pouvons pas plaire à tout le monde.

Je vous souhaite donc de faire la différence en vous offrant toute la douceur dont vous avez besoin.

Il restera de toi…

Il restera de toi
ce que tu as donné.
Au lieu de le garder dans des coffres rouillés.


Il restera de toi, de ton jardin secret,
Une fleur oubliée qui ne s’est pas fanée.
Ce que tu as donné, en d’autres fleurira.
Celui qui perd sa vie
Un jour la trouvera.


Il restera de toi ce que tu as offert
Entre les bras ouverts un matin au soleil.
Il restera de toi ce que tu as perdu,
Que tu as attendu plus loin que les réveils.
Ce que tu as souffert
En d’autres revivra.
Celui qui perd sa vie
Un jour la trouvera.


Il restera de toi une larme tombée,
Un sourire germé sur les yeux de ton cœur.
Il restera de toi ce que tu as semé
Que tu as partagé aux mendiants du bonheur.
Ce que tu as semé
En d’autres germera.
Celui qui perd sa vie
Un jour la trouvera.


Simone Veil

Cuisiner du ghee pour votre santé

Le ghee booste l’immunité et la mémoire. Il protège la moelle osseuse et est régénérant. Voici ma recette que je tiens de mon amie Bernadette. Une belle rencontre lors de mon premier séjour en Inde où j’y ai fait une cure ayurvédique. Avec le recul je dirais plutôt où l’ayurveda est venue à moi. C’est un produit que vous trouverez dans une boutique bio mais je vous invite à le cuisiner vous même la première fois pour que voyez ce que vous infligez à vos artères lorsque vous mangez du beurre. Son goût noisette est surprenant sur un toast ! 

Recette : faire cuire 250g de beurre bio non salé très doucement pendant environ 45 min. Ecumer le beurre régulièrement. Une fois beurre cuit, filtrez à l’aide d’une étamine ou une passoire très fine. Conservez dans un bocal en VERRE. Soyez vigilant sur la date de péremption qui est la même que celle indiquée sur le beurre initialement.

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DIY : un gommage des mains à la rose

Avoir des belles mains bien hydratées est un atout de beauté et de bien-être. Et avoir une bonne hygiène des mains est primordiale.

Voici la recette d’un gommage nourrissant à base de pétales frais. A noter, que la quantité de produits permet également de commencer ou de poursuivre par un gommage des pieds qui vont pouvoir se libérer des chaussettes avec l’arrivée des beaux jours.

Fournitures :

– 3 cuillères à soupe de sucre blanc en poudre

– 2 cuillères à soupe d’huile d’olive

– une dizaine de pétales de rose.

Recette :

1. Dans un mixeur, versez le sucre blanc, l’huile d’olive et les pétales de rose.

2. Mixez par à-coups jusqu’à l’obtention d’une texture homogène.

3. Versez la préparation dans un bol.

4. Lavez vos mains à l’eau chaude pour préparer la peau. Puis massez les avec une généreuse noisette de la préparation exfoliante.

5. Pendant 5 minutes, réalisez des mouvements circulaires doux en insistant sur la paume des mains.

6. Rincez à l’eau claire.
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Apprendre l’humilité : un apprentissage de tous les jours

Une personne emplie d’humilité est une personne juste.

André Comte-Sponville disait ‘ L’homme humble ne se croit pas inférieur aux autres et il a cessé de se croire supérieur. Il n’ignore pas ce qu’il vaut, ou peut valoir : il refuse de s’en contenter.’

Cela s’acquiert au fil du temps et avec de la patience.

C’est jour après jour apprendre :

  • à écouter l’autre en acceptant que chacun détient sa vérité et qu’il n’y a pas qu’une seule façon de faire les choses,
  • à accueillir l’autre dans sa totalité,
  • à identifier et reconnaître ses erreurs du passé pour un meilleur avenir.
  • annihiler l’orgueil et la fierté pour désamorcer l’égo mal placé.
  • à faire taire ses conflits intérieurs.

En langage des fleurs, la violette symbolise l’humilité et la modestie. Trois violettes représentent l’humilité, la simplicité et la modestie.

Ma grand-mère me disait toujours  » Avec le temps, tu apprendras à tenir ta langue et à mettre tes poings dans ta poche pour avancer le cœur léger. Prends donc une violette mon enfant. « 

Lorsque l’arrogance dirige notre vie, cela nous prive de bien des opportunités. Celles d’apprendre des nouvelles connaissances puisque nous sommes persuadés de déjà tout savoir et d’être le meilleur, celles de découvrir des nouvelles possibilités, des nouveaux chemins. Et c’est bien dommage de passer à côté de tous ces savoirs.

Et si l’humilité c’était inviter la simplicité du cœur et de l’esprit dans sa vie !

Amour toujours : amour de soi et amour des autres

  • L’amour et la joie sont les clés du bonheur. Mais il est dangereux de donner tout son amour aux autres. Le bon équilibre est 51 % d’amour pour soi et 49 % pour les autres. J’aime beaucoup l’image de la carafe d’eau qui ne peut pas donner aux autres ce qu’elle n’a pas.

Du renfort qui rend fort

Voici des idées, des renforts qui peuvent doper la confiance en soi, nous aider dans le respect du développement personnel

Le mouton noir de la famille

C’est acté, dimanche c’est le repas de famille : youpi ! Ou pas…

La famille n’est pas toujours synonyme de cocon et de bonheur pour tout le monde. Dans les fratries, il y a les chouchous et le fameux mouton noir. Et c’est plutôt inconfortable.

En effet, elle nous renvoie aux sentiments de rejet, d’abandon, d’humiliation, de trahison et d’injustice qui au fil du temps se sont transformés en blessures de l’âme.

Il n’est jamais choisi par hasard. En transgénérationel, il a une place particulière car c’est lui « l élu » qui est là pour révéler les non-dits, découvrir un secret d’alcôve ou en tout genre.

Ces rebelles, ces mal aimés, ces empêcheurs de tourner en rond, sont en fait des éveilleurs de conscience. Ils sont là pour libérer l’arbre généalogique, guérir les familles dysfonctionnelles, réaliser le rêve ou la mission inachevée d’un ancêtre et/ou éviter que les histoires se répètent…

Vous vous êtes peut-être reconnu(e), j’espère que cela vous donnera du sens et peut-être que cela vous donne conscience de l’ampleur du travail. En tant que mouton noir, j’en ai même conservé les cheveux frisés ! Je vous envoie donc beaucoup d’empathie.

Quoi qu’il en soit, il n’y a pas de famille sans histoire. Et ce qui est formidable, c’est les belles photographies et les souvenirs qu’elles transmettent de génération en génération comme des bijoux. Alors, 3,2,1 cheese !

Prendre du temps pour soi, une des clé de son énergie

J’espère que vous avez passé une bonne journée. Avez-vous eu le temps de tout terminer ? Avez-vous tout gérer et remis à demain la prise de rendez-vous chez votre dentiste, le spécialiste médical en prévention ? Avez-vous passé tout votre temps à vous occuper des autres ? Avez-vous pris du temps pour aller chez le coiffeur, aller courir un peu, beaucoup ou passionnément ? Avez-vous pris le temps de faire quelque chose qui vous met en joie ? Avez-vous pris du temps pour souffler et recharger vos batterie ?

Ou peut-être n’avez-vous pas trouvé le temps car il passe trop vite et que votre agenda est surchargé.

Pourtant, c’est l’une des seule chose qui ne revient pas dans dans la vie. Chaque journée est unique et nous met à disposition 24 précieuses heures.

Aussi longtemps que nous le considérons comme un sacré filou, il se perd, il file entre nos doigts, il nous presse, il manque… Nous lui courons après, nous voudrions l’arrêter !

Jusqu’à ce que nous nous reconnections à notre horloge interne. Et soudain, nous prenons conscience, qu’il se trouve, qu’il se prend, qu’il se planifie, qu’il se vit au présent, qu’il est à la fois notre maître et notre allié. D’autant qu’il fait pousser les fleurs et les enfants. Il bonifie le vin et les aliments grâce à la macération.

Ce qui est intéressant, c’est qu’avec le temps nous y voyons plus clair, les larmes sèchent, il change les choses, nous oublions… Il nous aide à pardonner. Il nous apporte la réponse et la solution : soudain tout s’éclaire. Le temps est réparateur. Il remet les pendules à l’heure et révèle les secrets, remet les choses à leur place.

Avec plus de temps, vous en saurez plus. Il révélera vos talents et vous dira qui sont vos vrais amis.

Avant qu’il ne soit trop tard, je vous souhaite que des bonnes heures, du bonheur et du bon temps.

Ces relations qui en disent long…

Même en amitié et surtout en amour, tout est énergie. Souvenez-vous la dernière fois que vous savez pensé ou prononcé la phrase  » oh qu’il/ qu’elle me pompe ! « 

Qu’est-ce qu’un mangeur d’énergie ? Eh bien, c’est une personne qui se plaint sans cesse, use de méthode intimidante (colère, chantage, pression, ultimatum…), vous questionne sans cesse, vous rabaisse (parfois même avec une pointe d’humour… histoire de passer inaperçu), ou a la réaction d’un rabat joie lorsque vous lui parlez d’une chose qui vous a fait plaisir ou vous lui annoncé une bonne nouvelle (plus d’informations à partir de la page 79 du Monde enchanté de Marie Pauppins).

Savoir cela est primordial pour bien s’entourer plutôt que d’être mal accompagné dans une relation toxique.

Êtes-vous une personne qui donne d’emblée sa confiance ou préférez-vous prendre le temps d’observer la congruence des paroles et des actes ? Écoutez-vous les autres ou préférez-vous faire votre propre idée en vous connectant à votre intuition, appelé aussi la première impression. Donnez-vous sans recevoir en retour ?

Votre corps et vos émotions sont des baromètres qui en disent long. Vous sentez-vous en joie après un moment passé entre amis ou sentez-vous un nœud à votre estomac, une tension derrière votre nuque, ou tout autre symptôme corporel ? Êtes-vous impatient de planifier un autre rendez-vous ou prétextez-vous un agenda surchargé ?

Une fois bien accompagné, les relations deviennent un partage, du bonheur, une malle à trésor, des souvenirs.

Un proverbe africain dit :  » Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin. « 

Va à l’école pour avoir un bon métier

Des années plus tard, quel est le métier du premier de la classe ? Est-ce que tous les premiers de classe sont milliardaires ?

A vous aussi, vos parents vous ont répété d’avoir des bonnes notes, pour avoir un bon métier et beaucoup d’argent… Quelles émotions cela généraient en vous ? Pour ma part, j’avais le cœur qui battait très fort dans ma cage thoracique à l’approche de ma copie… Il m’arrivait même de me rendre malade par peur d’avoir une mauvaise note pour un contrôle raté. Rappelez-vous la fameuse récitation à débiter au tableau, les bras derrière le dos, à côté du bureau du Maître ou au tableau.

Trop souvent, on nous fait croire qu’il est nécessaire d’effectuer des longues études pour trouver la sécurité financière au lieu de la nécessité d’étudier pour avoir un métier que l’on aime pour trouver la liberté financière.

Personnellement, j’aurais aimé bénéficier d’une éducation financière qui me libère de la peur de manquer d’argent, un peu comme un monstre caché sous le lit : bouh !

J’aurais aimé bénéficier de conseils pour développer mon QI financier (comment ne pas gaspiller de l’argent, savoir investir, choisir et utiliser à bon escient un emprunt, faire fructifier son argent, investir dans son capital santé physique et mental).

Dans un monde où tout est perpétuel changement, apprenons à dompter la peur. A en tirer profit pour désapprendre et apprendre différemment.

Et si nous étions en quête de créativité, de développement personnel, d’intelligence émotionnelle, de sagesse et d’amour au lieu d’une recherche constante de protection qui génère du stress, de la fatigue et de l’agressivité.

Malheureusement, très souvent ce sujet est tabou et met mal à l’aise. Alors que quelques simples conseils, coups de pouce, encouragements font toute la différence.

Sortir du triangle de Karpman

« Le triangle de Karpman est un modèle développé par Stephen Karpman qui reprend l’ensemble des jeux psychologiques qui peuvent se jouer dans les communications où tour à tour pour se protéger, tu peux endosser le rôle de persécuteur, victime ou sauveur. Savoir cela sur soi peut aider à se libérer, délivrer de ses chaînes. » (extrait du livre Le monde enchanté de Marie Pauppins)

Prendre conscience du scénario qui se répète dans notre vie, nous aide à identifier la place que nous avons adopté dans ce triangle infernal.

Dans ce contexte, notre inconscient attire ce dont nous avons besoin pour nous aider à nous retrouver dans une situation qui pourtant nous semble indésirable. Et cette situation est infernale… En effet, la victime attire des boureaux et des sauveurs. Le sauveur aide fausement la victime et le persécuteur repèrent ses proies…

Pour ma part, trop souvent je me retrouvais dans le même coin : celui de la victime. Il m’a donc fallu relever mes manches et me mettre à travailler sur moi pour accepter ma responsabilité, arrêter de chercher des sauveurs, observer mes bourreaux, leur tenir tête, me pardonner et cesser de les accuser.

S’extraire du triangle demande du temps, du courage pour se regarder dans les yeux et à prendre soin de ses failles pour finalement les épouser.

Lorsque l’on applique un pansement (ou pense/ment en langue des oiseaux) sur une blessure de l’âme, nous avons tendance à pointer du doigt les autres. C’est la faute du bourreau qui a mal agi, de la victime qui s’est laissée faire ou du sauveur qui s’est investi plus que nécessaire.

En apprenant à s’extraire de ce triangle, les choses se mettent à tourner un peu plus rond dans la vie. Avec du recul, nous apprenons à apprendre de nos bourreaux et de nos ennemis qui deviennent des professeurs pour :

  • apprendre à dire non et poser nos limites,
  • changer les choses, évoluer,
  • déchiffrer nos émotions , travailler notre intelligence émotionnelles,
  • laisser tomber les masques dans l’amour de soi.

Sur la route de la réparation ou reconstruction de soi, nous stoppons les accusations et nous acceptons notre part de responsabilité. Nous ne blamons plus personne y compris soi.

Travailler sur soi est le début du changement de notre monde intérieur qui retentit sur notre monde extérieur. Une goutte d’eau qui constitue la rivière. Aimons la goutte d’eau qui fait déborder le vase car elle nous permet d’exploiter notre colère saine et met le pied à l’étrier pour quitter le triangle de Karpman et devenir une meilleure version de nous-même.

Le sentier que je n’ai pas emprunté

Deux sentiers s’écartaient l’un de l’autre dans une forêt aux feuilles jaunies, et j’étais déçu de ne pouvoir les parcourir tous deux comme un seul voyageur.  Je restai longtemps immobile à regarder l’un s’étirer longuement jusqu’à ce qu’il bifurque dans le sous-bois.

Puis, j’ai choisi l’autre qui me semblait tout aussi beau et qui méritait peut-être davantage le titre de sentier, car il était verdoyant et je voulus m’y engager même si les deux sentiers avaient été foulés presque pareillement par les milliers de pas des promeneurs.

Ce matin-là, les deux sentiers gisaient semblablement enterrés sous des feuilles qu’aucun pied n’avait encore foulé.  Oh! C’est alors que je gardai le premier sentier en réserve pour un autre jour ! Pourtant, ne sachant comment un sentier mène à un autre, je doutais fortement que j’allais revenir un jour.

Il me faudrait raconter cette histoire avec un soupir dans la voix à des années-lumières d’ici ; deux sentiers se séparaient l’un de l’autre dans un bois et j’empruntai le moins fréquenté, et c’est ce qui fit toute la différence.

Poème de Robert Frost 1916

Osons fabriquer un cadeau fait maison

Avant toute chose et avant de se lancer, il est bon de se rappeler que c’est avant tout un élan du cœur.

Soyons réaliste, il est inutile de nous mettre la pression et de nous lancer dans la réalisation d’un tableau si nous n’aimons pas peindre ou dessiner.

La première chose à faire est de se connecter à l’énergie de la joie pour convoquer notre imagination, nos talents et pourquoi pas un brin de folie !

Il est inutile de dépenser une fortune pour toucher le cœur d’une personne.

Une amie m’offre chaque année des billets datés de gratitude des moments que nous avons partagés ensemble et cela m’émerveille toujours !

Le bonheur, c’est parfois simple comme un bouquet de fleurs ! A la différence que la destinée des fleurs coupées est de faner alors qu’une plante en pot fleurira d’année en année avec une bonne dose de lumière, d’amour et d’eau fraîche. A terme, nous pouvons même parfois perpétuer le partage par le biais d’une bouture.

Et comme tout est énergie, si nous offrons un cadeau par obligation, par convention ou par politesse…, la personne recevra notre intention.

Tout commence par un zeste d’amour sans attente dans le but de créer du bonheur, un moment de complicité, un échange et de mettre des paillettes dans la vie d’un être cher.

Et la cerise sur le gâteau, l’emballage ! Pensons à l’égayer par un joli furoshiki.