A l’origine, il y en avait quatre :
que votre parole soit impeccable ; quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ; ne faites pas de suppositions et faites toujours de votre mieux.
Pas facile de les appliquer quoi qu’il en soit ! Pour ma part, lorsque j’ai eu terminé le livre de Don Miguel Ruiz, j’étais plutôt perplexe et dubitative. J’avais l’impression qu’il fallait se métamorphoser en Bisounours. Mais curieuse de nature, j’ai tout de même continuer la suite par le cinquième accord toltèque : soyez sceptique, mais apprenez à écouter. Et là, Don Miguel Ruiz m’a convaincu. J’ai d’ailleurs eu tendance à le privilégier dans un premier temps.
Pour leur donner du sens, j’ai tenté de comprendre pourquoi il est important que la parole soit impeccable ? J’en suis arrivée à ces conclusions :
- lorsque la parole dévie les pensées sont impactées également et cela détériore la qualité de la journée, augmente le stress, les idées noires et les relations avec autrui en pâtissent.
- les mots peuvent blesser une personne et la transpercer comme une flèche ou une balle de pistolet. C’est d’ailleurs quasiment le même mouvement qui est effectué par les doigts pour utiliser une arme.
- lorsque quelqu’un parle mal d’autrui ou d’une situation, cela revient à pointer du doigt. Et lorsque l’index désigne quelque chose, il y a trois doigts pointés vers soi.