Les bienfaits de l’huile de coco

 

L’huile de coco est obtenue en pressant la chair de la noix de coco.

En cuisine, elle peut remplacer le beurre ou l’huile végétale dans les recettes sucrées ou salées. Elle donne un goût exotique et parfumé aux plats. Elle résiste bien à la chaleur et ne rancit pas facilement.

Côté santé, l’huile de coco peut aider à prévenir ou à traiter certaines infections, inflammations, maladies ou parasites. Elle renforce le système immunitaire, favorise la digestion, régule le taux de sucre dans le sang, stimule la thyroïde et améliore la mémoire.

Elle est efficace pour améliorer la vue ou en préventif et pour fortifier les cheveux. Pour cela, il suffit d’en mettre une petite noisette dans le nombril le soir avant de se coucher.

En cosmétique, elle permet aussi d’hydrater le corps après un bon bain ou une douche, et les cheveux avant le shampoing (avec la possibilité de laisser poser plusieurs heures ou toute une nuit).  Ce produit est tellement tout en un, qu’il peut également  être utiliser comme démaquillant pour ses effets nettoyants, hydratants et sa capacité à soulager les cernes.

Et pour l’hygiène buccale, le rituel gandouche, issu de la médecine ayurvédique, s’effectue à jeun. Il permet de désengorger la langue des bactéries et blanchir les dents par sa capacité à décoller la plaque dentaire. Cette pratique est une bonne gymnastique pour lutter contre rides des lèvres du fait des mouvements rotatifs à effectuer pour conserver l’élixir en bouche le temps du soin.

 

 

 

IG : Indice Glycémique et Hypoglycémie Réactionnelle

L’indice glycémique (IG) permet de classer la aliments en fonction de l’élévation de la glycémie (= taux de glucose sanguin) qu’ils produisent quand on les mange.

La référence est celle du glucose lui-même qui par convention est notée 100, valeur maximum. Il est un bon indicateur de la vitesse à laquelle sont digérés les glucides.

La valeur normale (« glycémie à jeun ») est proche de 1g/l de sang (0.7 à 1.1 g/l de sang selon personnes et métabolisme).

Lorsque l’on mange un aliment, la glycémie augmente.

Quand la glycémie s’élève au-dessus d’1 g/L, il y a hyperglycémie.

Pour remédier à cela, le corps secrète une hormone par l’intermédiaire de son organe le « pancréas », cette hormone s’appelle l’ insuline : cette hormone permet de ramener la glycémie à son taux normal.

Ainsi, plus les aliments ont un indice glycémique élevé et plus ils sont consommés en grande quantité, plus la glycémie s’élève et plus la production d’insuline est importante pour faire baisser cette glycémie.

De plus, l’hypoglycémie réactionnelle provoque coup de pompe, …, (se traduisant par siestes, …)  car le cerveau utilise le glucose comme source d’énergie.


Taux de glycémie à ne pas dépasser : 

Le taux de glycémie à jeun est jugé normal lorsqu’il est compris entre 0,70 et 1,10 g par litre de sang.

Ce chiffre est à bien distinguer de celui considéré dans le cadre d’une mesure de la glycémie postprandiale. Celle-ci est réalisée 1 h 30 après un repas et le résultat doit, dans ce cas, être de moins de 1,4 g/l (ou 7,8 mmol/l).

Par ailleurs, on estime qu’il y a une hypoglycémie si le taux de glucose dans le sang est inférieur à 0,6 g/l ou qu’il y a hyperglycémie lorsqu’il excède 1,10 g/l. Enfin, on peut fortement suspecter un diabète si deux tests de taux de glycémie à jeun successifs donnent un résultat supérieur à 1,26 g/l.

 

 


 

Avantage des aliments à IG bas : 

  • meilleurs répartition des graisses. S’il y a forte production d’insuline, il y a davantage stockage au niveau de la ceinture abdominale.
  • éviter les « coups de pompe ». En effet, le cerveau utilise le glucose comme source d’énergie, il est donc très sensible à toute hypoglycémie qui produit fatigue, susceptibilité …
  • meilleurs pour la santé ! Les variations de glycémie trop fréquentes entraînent des pics de sécrétion d’insuline qui dérèglent le pancréas, pics qui augmentent, sur le long terme, le risque d’apparition de diabète de type 2, de cancers, de maladies cardio-vasculaires …
  • améliorer les performances sportives : plus on consomme des aliments à IG élevés, plus notre corps sécrète de l’insuline (hormone responsable du stockage du sucre dans les cellules souvent sous forme d’adipocytes). Cette sécrétion permanente d’insuline va entraîner une résistance à l’insuline des récepteurs des cellules musculaires ; ils vont donc avoir de plus en plus de difficulté à capter le glucose. Du coup, ces cellules musculaires stockent moins de glycogènes musculaires, carburant indispensable pour les efforts sportifs. Résultats : faute d’énergie, les efforts sont soutenus moins longtemps.

 

Inconvénients des aliments à IG élevés :

  • diminution des performances sportives car moins bonne sensibilité à l’insuline
  • coup de pompe suite à une hypoglycémie réactionnelle car le cerveau utilise le glucose comme source d’énergie.
  • augmentation des fringales suite à l’hypoglycémie réactionnelle
  • mauvaise répartition des graisses autour de la ceinture abdominale
  • augmentation du phénomène de glycation (vieillissement cellulaire)
  • risque de résistance à l’insuline avec développement de diabète et d’obésité…
  • déséquilibre acido-basique avec risque sur moyen et long terme de développer l’ostéoporose, chute du système immunitaire, fonte de la masse musculaire, fatigue, risque de calcul augmenté …

 

 


 

Pour aller plus loin :

  • un aliment naturel a un IG plus bas qu’un aliment transformé (raffiné)
  • un aliment cuit a un IG plus élevé (exemple : Carottes crues 16 / Carottes cuites 47)
  • un aliment broyé a un IG plus élevé (fruit pomme – purée de pomme – jus de pomme)
  • un aliment refroidi après cuisson a un IG plus bas
  • un aliment à IG haut, consommé pendant un repas équilibré, a un IG modéré

lien 1 : Métabolisme : Glucose vs Cétones

 

Point de fumée des huiles

 

Le point de fumée est la température à partir de laquelle les huiles ou les graisses émettent des fumées de façon continue.

C’est à cette température que ces produits commencent à se décomposer et se dénaturer : la substance donne ainsi un mauvais goût.

C’est pourquoi le point de fumée d’une huile ou d’une graisse est un élément-clé pour la friture.

En effet, la valeur du point de fumée dicte la température et par conséquent l’utilisation possible d’une matière grasse (par exemple, la friture à très haute température nécessitera une matière grasse avec un très haut point de fumée).

 

 

Ce qu’il faut retenir : 

  •  la chaleur diminue la saveur et la qualité de l’huile
  • chauffer l’huile trop fortement fait disparaître une partie des antioxydants qu’elle contient
  • température de fumée = la température critique à partir de laquelle une huile se dénature et est susceptible de s’enflammer spontanément

 

Rythme Cardiaque

 

La fréquence cardiaque correspond au nombre de battements du cœur pendant un laps de temps donné, une minute généralement. Elle varie sous l’impact de nombreux paramètres :

  • le sexe
  • l’âge
  • la forme physique
  • la corpulence
  • la présence d’une pathologie
  • les émotions
  • la prise de médicaments

On estime que chez l’adulte, au repos, une fréquence cardiaque normale est comprise entre 60 et 100 battements par minute (bpm).

  • Elle est légèrement plus élevée chez les femmes que chez les hommes.
  • Le cœur des enfants bat plus rapidement : chez le nouveau-né, entre 120 et 160 fois par minute.
  • La fréquence cardiaque des sportifs / athlètes : peut s’abaisser à des niveaux très faibles, jusqu’à 40 bpm.

 

Bradycardie : fréquence cardiaque faible inférieure à 60 bpm ; causes possibles

  • la prise de certains médicaments comme les bêtabloquants
  • une pathologie cardiaque
  • une pathologie non cardiaque, comme l’hypothyroïdie ou hypertension intracrânienne
  • un déficit en potassium

Tachycardie : fréquence cardiaque élevée en dehors d’un effort physique, émotions, … ; causes possibles : 

  • Maladie temporaire (virus ou bactérie source de fièvre ou un état inflammatoire
  • une hyperthyroïdie
  • une anémie
  • une hypovolémie
  • la prise de drogues ou de boissons excitantes comme le café ou l’alcool
  • une embolie pulmonaire
  • une pathologie cardiaque

 

Pour aller plus loin :  des systèmes de sécurité, notamment biométrique utilisent le tracé propre de votre rythme cardiaque comme « mot de passe », au même titre que l’iris de l’œil ou les empruntes digitales.

 

Tableau : rythme cardiaque au repos, en fonction de l’age, sexe et forme physique : 

 

Radicaux libres et antioxydants

 

Un radical libre est une entité (atome, molécule ou ion) possédant un ou plusieurs électrons non appariés, dit célibataires, sur sa couche externe, ce qui la rend instable.

En biologie, les radicaux libres sont des dérivés réactifs de l’oxygène.

Ils sont produits naturellement par notre organisme, principalement par nos cellules, lors de la transformation des nutriments en énergie (métabolisme), mais ils peuvent aussi provenir de sources extérieures comme le tabac, l’exposition aux UV, la pollution environnemental et la qualité de l’air que nous respirons, le stress, etc.

Les radicaux libres agressent nos cellules en se combinant à elles.

Plus généralement, les radicaux libres attaquent notre peau (rides, …), nos organes et notre ADN et seraient responsables du vieillissement global de notre organisme, de l’affaiblissement de notre système immunitaire et surement source potentiel d’un certain nombre de maladies graves… Les radicaux libres seraient à l’origine de plus de 200 maladies dont les maladies cardio-vasculaires, certains cancers, certaines maladies cérébrales dégénératives (maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, sclérose en plaque), certaines maladies des yeux (cataracte, dégénérescence de la rétine), l’asthme, l’ostéoporose et tant d’autres.

 

Les sources externes de radicaux libres : radiations, soleil, pollution, tabac, stress…

Les radicaux libres sont également produits par des phénomènes extérieurs à notre organisme (dits exogènes) comme l’exposition aux rayons ultraviolets ou aux rayons X, la pollution présente dans l’air que nous respirons, dans l’eau et dans les aliments que nous consommons ou encore l’exposition à la fumée de cigarette.

Les aliments trop cuits ou brûlés contiennent également beaucoup de radicaux libres (attention à la cuisson au barbecue ou au grill !).

Le stress, physique ou psychique, agit également sur les mitochondries qui en produisent davantage.

 

Les antioxydants : l’antidote contre les radicaux libres

Les antioxydants sont des molécules qui neutralisent les radicaux libres dans une réaction d’oxydation, les rendant inoffensifs. Ils sont donc l’antidote parfait pour lutter contre les effets redoutés des radicaux libres et ainsi nous conserver jeune !

Les antioxydants regroupent certains minéraux, vitamines et enzymes.

On les trouve dans la plupart des végétaux (fruits et légumes riches en vitamines et polyphénols), le chocolat, certains mollusques, le thé vert.

Les vitamines C et E, les bêta-carotènes (précurseurs de la vitamine A) et certains oligo-éléments (zinc, sélénium, manganèse) sont des antioxydants.

 

 


 

D’où la nécessite d’avoir une bonne hygiène et qualité de vie, tant au niveau que de l’alimentation, de l’hydratation, de travail, de l’environnement, …

 

en conclusion :

  • Evitez les expositions solaires sans protection. (protection anti UV par crème solaire de qualité, portez des lunettes anti lumière bleue quand vous êtes sur écrans PC?… bref protégez vous des mauvais rayons lumineux …
  • Utilisez des soins et crème pour nourrir et protéger votre peau, …
  • Evitez ou Limiter
    • Évitez de fumer ou diminuez le tabac.
    • Limitez votre consommation de produits alimentaires contenant des produits toxiques (métaux lourds, colorants, produits rances, pesticides, chlore dans l’eau du robinet). Préférez l’alimentation Bio, local, de saison pour augmenter la qualité des nutriments, vitamines, … et éviter d’accoite la pollution de la planète avec le transports de produits venus du bout du monde !
    • Limitez la consommation d’aliments frits, brunis, carbonisés ou fumés, … et plus généralement limitez l’usage du barbecue ou du grill, et veiller au bonnes pratique de mode de cuissons, avec le bon choix du type d’huile de cuisson afin d’éviter « les points de température de fumée ».
    • Evitez l’alcool.
    • Evitez le stress alimentaire (par exemple : lundi repas asiatique, mardi mexicain, … et dimanche soir fast food ; mais préférer une même typologie de repas plus local avec de temps en temps, un extra avec une cuisine du monde, mais de facon exptionnelle d’un point de vue fréquence)
    • Evitez le stress physique, et veillez à la bonne récupération
    • Evitez le stress intellectuel, et préférez une vie holistique et un métier µde type « IKIGAI ».

 

  • Maximisez :
    • Fruits et légumes riches en antioxydants.
    • Boissons riches en antioxydants.
    • Veillez à votre qualité de vie et votre environnement

 

Lien 1 : Café

Lien 2 : Thé

Lien 3 : Mode de Vie

Lien 4 : Type de Régime Alimentaire

Lien 5 : Mode de Fonctionnement Alimentaire

Lien 6 : Cuisine et Cuissons

Lien 7 : pollutions à la maison

Lien 8 : IKIGAI

 

Liens « Bonus »

Recette : gâteau au noix de macadamia

Ingrédients : 

  • 500 g de noix de macadamia (en vrac, nature, sans sucre ni sel)
  • 400 g de crème fraîche entière de type isigny 40% matière grasse
  • 9 gros œufs bio, de préférence riche en oméga 3
  • 1 cuillère à moka de poudre naturel de vanille

 

1/ Etape initiale : confectionner son rappé de noix de macadamia

A l’aide d’une machine habituellement utilisée pour rapper les carottes …, confectionner votre poudre de noix de macadamia.

2/Etape 2 : cuisine et cuisson

  • Séparer les oeufs
    • A l’aide d’un robot de cuisine puissant, faire monter les blancs « en neige »
    • Préparer dans un petit saladier les 9 jaunes à mélanger avec la poudre de vanille

 

  •  Introduire petit à petit, la poudre de noix de macadamia et le mélange jaunes d’œufs
    • En 3 fois, afin d’avoir un mélange homogène
    • Mélanger le tout délicatement, comme si vous faisiez une mousse au chocolat, afin de conserver un maximum du coté aérien obtenu grâce aux « œufs en neige »

 

  • Remplir à 2/3 de la hauteur des petits moules à gâteaux, de préférence en silicone.

 

  • Cuisson 15 minutes à 180°C, dans un four préalablement chauffé à 210°C ; cela permet de saisir l’extérieur des gâteaux, en conservant une sensation de moelleux à l’intérieur lors de la dégustation.

 

  • Laisser refroidir 3h dans les moules, puis faire figer les gâteaux au congélateur pour faciliter l’opération de démoulage.

 

Bonne dégustation.

 

nota 1 : variantes

  • la rappé noix de macadamia peux être remplacer facilement pour varier goûts et saveurs par :
    • rappé de noix de coco
    • poudre d’amandes
    • poudres de noisettes (cependant plus sec lors de la dégustation, personnellement à apprécier avec un peu de beurre de cacahuètes ou  purée d’amandes)

 

nota 2 : très calorique

  • noix de macadamia = 950 kcal au 100 g, crème fraîche isigny = 300  kcal au 100 g, oeufs : 70  kcal à l’unité
    • soit pour 24 petits gâteaux : 5 * 950 + 4 * 300 + 9 * 70 = 6580 kcal au total soit près de 275  kcal par gâteau
    • de préférence pour des personnes ayant un régime alimentaire de type cétogène ou éventuellement lors des repas du soir en dessert pour les « warrior diet ».

 

 

 

 

Pyramide Alimentaire Cétogène et Aliments Cétogènes

 

Le régime cétogène est un régime alimentaire faible en glucides, modéré en protéines et riche en matières grasses. L’objectif est de faire passer le corps en état de cétose, ce qui signifie qu’il brûle les graisses stockées pour produire de l’énergie au lieu de compter sur les glucides provenant de l’alimentation.

Le régime cétogène peut avoir des avantages pour la perte de poids, la régulation de la glycémie, la réduction de l’inflammation et l’amélioration des fonctions cognitives. Cependant, il peut également entraîner des effets secondaires tels que la fatigue, les maux de tête et les nausées, en particulier pendant la période d’adaptation.

Il est important de noter que le régime cétogène n’est pas adapté à tout le monde, en particulier aux personnes atteintes de certains problèmes de santé tels que les troubles rénaux ou hépatiques, les troubles de l’alimentation et les diabétiques sous insuline. Il est également important de consulter un professionnel de la santé avant de commencer un régime cétogène pour s’assurer qu’il convient à vos besoins nutritionnels individuels.

 

Le régime cétogène (ou keto) est un régime alimentaire ou plutôt un mode de vie, qui prône une très faible consommation de glucides à la faveur d’un apport plus important de lipides.

 

Sont à exclure quasi totalement de l’alimentation les aliments riches en glucides (moins de 50g par jour) comme les produits céréaliers (pain, pâtes, céréales, etc.), les féculents, les légumineuses, les produits qui contiennent du sucre ajouté (biscuits, pâtisseries) ainsi que les fruits et de nombreux légumes trop «sucrés».

 

Le menu type inclura de la viande, du poisson, des fruits de mer, des œufs, des noix, du yogourt nature riche en gras, des laitages, des huiles végétales et des légumes verts feuillus.

 

Le principe du régime cétogène est simple : en diminuant l’apport en glucides, notre corps va puiser dans nos graisses pour trouver l’énergie.

 

Liste des aliments  types à consommer lors d’un régime / mode cétogène :

 

  • Produits laitiers sans sucre (fromage, yogourt, crème, beurre, etc.)
  • Huiles végétales
  • Noix et arachides
  • Oeufs
  • Poissons (saumon, thon, sardine, sole, truite)
  • Volaille (poulet, canard, dinde)
  • Viande (boeuf, veau, agneau, porc)
  • Fruits de mer (crevettes, homard, crabe)
  • Fruits peu sucrés :
    • Bleuets
    • Citron
    • Olives
    • Framboises
    • Fraises
    • Noix de coco
  • Légumes peu sucrés :
    • Epinards
    • Bette à carde
    • Brocolis
    • Haricots verts
    • Salade
    • Concombres
    • Courgettes
    • Choux
    • Chou-fleur
    • Avocat
    • Tomate

Liste non exhaustive 

 


 

Lien initial : Métabolisme : Glucose vs Cétones

Lien 1 : Épigénétique : Comment l’environnement, l’alimentation, ou le stress modifient nos gènes

 

Fuyez le catabolisme et prenez du muscle!

 

La construction musculaire est un processus complexe à maîtriser (surtout sans produit complémentaires de type poudre de BCAA, créatinine, …), qui nécessite un état d’anabolisme quasi constant.

L’anabolisme, c’est la construction de nouveau tissu. Lorsque l’on s’entraîne trop ou que l’on n’apporte pas suffisamment de nutriments aux fibres musculaires, le catabolisme nous guette.

  • Concrètement, au niveau biologique, le catabolisme est un ensemble de voies métaboliques qui décomposent des molécules complexes (lipides, protéines, polysaccharides, acides nucléiques, etc.) en plus simples (acides gras, acides aminés, monosaccharides, nucléotides, etc.).
  • Ils peuvent soit s’oxyder pour libérer de l’énergie, soit être utilisés dans d’autres réactions anaboliques. Concrètement, dans le domaine de la musculation et du sport, cela signifie que les tissus musculaires se décomposent pour produire de l’énergie.

Le catabolisme, c’est le processus inverse de l’anabolisme : la dégradation musculaire !


Une alimentation de qualité, varié et équilibré, ainsi qu’un bon suivi médical et des mesures de conditions physiques journalières  permet de perdre du poids plus rapidement (type gras ou masse grasse), et préservé la masse musculaire (muscles ou masse maigre), voir en gagner.

Le catabolisme est un véritable problème car ce sont les muscles fondent très rapidement avec une mauvaise alimentation, qui peut être accéléré par une mauvaise pratique d’activités physiques et de récupérations.

Pour sécher efficacement, il est important de consommer des protéines, des fibres et des acides gras essentiels, afin de fournir les nutriments indispensables aux muscles et éviter le catabolisme.

 

Le surentraînement constitue la principale cause du catabolisme. Et il est très facile de tomber dans le surentraînement sans s’en apercevoir. En effet, en vous entraînant trop longtemps et trop souvent sans prendre soin de votre récupération musculaire, vous réduisez tout simplement votre capacité à prendre du muscle.

Le surentraînement réduit à néant vos espoirs de progression, et ses symptômes sont facilement reconnaissables :

  • Perte de motivation
  • Fatigue
  • Baisse des performances
  • Prise de gras
  • Perte de masse musculaire
  • Affaiblissement du système immunitaire
  • Blessures

 

 


Les différents types de muscles

Le muscle est un organe complexe qui n’est pas uniforme.

Pour pouvoir effectuer des gestes rapides ou pour bouger pendant des heures, le muscle est muni de différents types de fibres qui sont les cellules du muscle.

 

Les fibres lentes ou fibres rouges ou de type I :

Ces cellules sont rouges car elles sont gorgées de sang. En effet, seul le sang est capable d’amener un maximum d’oxygène à ces fibres qui en ont grandement besoin.

Elles sont fines et interviennent dans des exercices longs et d’endurance et forte capacité de résistance à l’effort.

 

Les fibres rapides ou fibres blanches ou de type II : 

Il s’agit de cellules pâles qui ont un diamètre important.

Elles ont des capacités de contractions rapides et interviennent dans des mouvements brusques comme lorsque vous faites un saut ou quand vous soulevez une charge.

 

Elles ont une résistance faible à l’effort et ne sont pas capables de se contracter longtemps.

 

Effets de l’entraînement et typologie de l’activité sportive : 

Intrinsèquement et de manière initial et général : chaque individu à une répartition égale de la part de chaque type de fibres mais certains ont des prédispositions.

L’entraînement / typologie du sport : peut modifier cette répartition de manière à avoir plus de fibres lentes ou plus de fibres rapides.

Ainsi, si vous vous entraînez pour un marathon, une partie de vos fibres rapides vont se transformer en fibres lentes pour permettre un effort long.

 

Composition : 

Ils sont principalement constitués d’eau (environ 75 %), de protéines (environ 20 %), de diverses substances telles que des glucides, lipides, magnésium etc… (environ 5 %).

Thé : vertus énergisantes et relaxantes + antioxydant

 

Le thé est une boisson aromatique préparée en infusant des feuilles séchées de théier, un arbuste à feuilles persistantes originaire des piémonts orientaux de l’Himalaya (Assam, Yunnan, nord du Myanmar et de la Thaïlande).

Il y est consommé depuis l’Antiquité, puis s’est étendu au Japon et au monde arabe au ixe siècle et à l’Europe au xvie siècle.

Le thé est au xxe siècle la boisson la plus bue au monde après l’eau. Il peut prendre des formes très diverses, procurant une vaste gamme de boissons aromatiques, gustatives ou désaltérantes, obtenues par infusion ou percolation d’eau sur diverses préparations à partir des petites feuilles et des bourgeons du théier.

 

L’importante variété de thés existant au monde s’explique par le grand nombre de terroirs, de cultivars, de modes de culture ainsi que par les traitements subis après la récolte.

Ces facteurs déterminent le goût et la qualité du thé produit.

Les thés obtenus sont différenciés par leur « couleur » : noirs, verts, Oolong, jaunes, blancs et post-fermentés.

 

Riche en épigallocatéchine, en gallate d’épigallocatéchine, en théanine et en caféine, le thé est à la fois recherché pour son goût, ses vertus énergisantes et relaxantes ainsi que pour ses effets positifs sur la santé dans le cas du thé vert.

 

Bon à savoir pour profiter d’une façon optimal des vertus de son thé : 

La chaleur est un facteur primordial dans l’infusion car elle favorise le passage des composés responsables de l’arôme et de la saveur de la feuille de thé.

Cependant, une température trop élevée peut exagérer certains facteurs et faire apparaître une amertume et/ou une astringence insupportables qui vont masquer les parfums de la liqueur. Le contrôle de la température de l’eau permet justement de maîtriser l’équilibre des composants du thé.

Respecter la durée d’infusion est primordial pour que le thé exprime toutes ses qualités. En effet, le temps d’infusion varie entre quelques secondes et une dizaine de minutes, et c’est la composition chimique de chaque thé qui va en déterminer la durée.

 

Il est donc primordial de bien choisir son thé (nature, provenance, qualité, …), ainsi que de bien maîtriser sa préparation, afin de garantir l’obtention des bienfaits et vertus de façon optimal.

 

 

En pleine forme physique : zones de performances santé / mincir / sport

  • Adaptez les quantités et qualités de votre nourriture, ainsi que vos activités (sports, bricolage, jardinage, …) en fonction de vos objectifs / besoins propres et résultats personnels en utilisant la méthodologie de la roue de deming ainsi que les appareils de mesures à la maison, sans oublier les conseils et suivi de votre médecin.

 

  • Essayez de rester dans une des 3 phases de transition « bien être / dynamisme ou endurance) selon le style et mode de vie personne. Le plus difficile et rare à atteindre est le niveau grale, le point d’équilibre ultime qui arrive à lier les 3 états au même instant (bien être / dynamisme / endurance). Ce ne doit pas devenir une obsession d’y arrivé, car peu de personnes y arrive, mais plutôt avoir la surprise de le connaitre, même momentanément cette zone magique.

 

  • Le temps de préparation / transition entre 2 phases doit se faire progressivement en 1 semaines minimum pour ne pas trop stresser son corps ; et pour des phases de minimum 5 semaines, pour pouvoir commencer à ressentir les changements / bénéfices.

 


 

Le médecin du futur ne donnera pas de médicaments ; il formera ses patients à prendre soin de leur corps, à la nutrition et aux causes et à la prévention des maladies. de Thomas A. Edison, inventeur du phonographe, 1903

 


lien initial 1 : Evolution corps homme en fonction de l alimentation et du mode de vie

lien initial 2 : Vie holistique et équilibre : vivons sains, heureux et longtemps

lien initial 3 : Epigénétique : Comment l’environnement influence nos gènes

lien initial 4 : Épigénétique : Comment l’environnement, l’alimentation, ou le stress modifient nos gènes


 

lien 1 : La santé, c’est un esprit sain dans un corps sain

lien 2 : 12 mauvaises habitudes à bannir

lien 3 : Se ressourcer – Méditer – Voyager – … pour prendre un nouveau souffle

lien 4 : Créer son espace ZEN, pour mieux savoir se retrouver

lien 5 : Voyager, c’est y semer la diversité de la Terre. Voyager, c’est l’embellir des couleurs du monde.

lien 6 : changer de perception 

lien 7 : esprit et parachute 

Lien 8 : switcher
Lien 9 : b Bonheurs
Lien 10 : zen attitudes
Lien 11 : se sentir bien
Lien 12 : prioriser son bien être
Lien 13 : équilibre
Lien 14 :zone de confort

Evolution corps homme en fonction de l alimentation et du mode de vie

 

Le médecin du futur ne donnera pas de médicaments ; il formera ses patients à prendre soin de leur corps, à la nutrition et aux causes et à la prévention des maladies. de Thomas A. Edison, inventeur du phonographe, 1903

Notre environnement a une influence sur notre génome par des modifications dites épigénétiques. Par exemple, avec des patrimoines génétiques identiques, deux jumeaux peuvent évoluer différemment en fonction de leurs environnements respectifs. Les individus, et par voie de conséquence leurs gènes, sont en effet soumis à de nombreux facteurs environnementaux : alimentation, maladies, médicaments et toxiques, stress, lieu & hygiène de vie, qui peuvent modifier autant leurs cellules que leur ADN.

Toutes ces modifications constituent autant de « marques épigénétiques » regroupées sous le terme d’épigénome. Les modifications épigénétiques sont induites par l’environnement au sens large : la cellule reçoit en permanence toutes sortes de signaux l’informant sur son environnement, de manière à ce qu’elle se spécialise au cours du développement, ou ajuste son activité à la situation.

Ces signaux, y compris ceux liés à nos comportements (alimentation, tabagisme, stress…), peuvent conduire à des modifications dans l’expression de nos gènes, sans affecter leur séquence.


Nous avons la chance de vivre dans l’ère moderne, avec un tas de connaissances sur le corps humain (métabolisme, santé et maladies, …), et ère moderne qui nous offre l’accès au mesures et contrôle de la santé sous le gîte du corps médicale mais également en santé connecté et mesures à la maison (taux de cétones, analyses corporel par segmentations, mini ECG, …).

Nous pouvons donc influer en temps réel sur notre santé, bien être, …, directement en modifient / adaptant nos modes de vie, alimentations, activités, … et en mesurer les résultats et modifications corporels / analyses médicales / performances / …

 


– Épigénétique & Holistique & Équilibre


 

lien 1 : Maîtriser sa vie – sculpter sa vie

lien 2 : Quitter sa zone de confort !

lien 3 : 12 mauvaises habitudes à bannir

 

NOVA : UNE CLASSIFICATION DES ALIMENTS BASÉE SUR A SCIENCE

 

4 différentes familles d’aliments selon le type de transformation(s)

La classification NOVA, qui ne tient pas compte des valeurs nutritionnelles mais du degré de transformation des aliments. Voici comment distinguer un aliment ultra-transformé – dont la consommation excessive augmente le risque de maladies chroniques – d’un aliment peu ou pas transformé.

Teneurs en glucides, lipides, graisses, sel… fixent bien souvent la manière de classer les aliments selon leurs effets supposés sur la santé. Mais si cette manière de faire, qui a mené par exemple à l’étiquetage nutritionnel français, était en réalité dépassée ? C’est ce que pensent les tenants de la classification internationale NOVA. Cette dernière a été élaborée en 2010 par Carlos Monteiro, professeur de nutrition et de santé publique à l’université de Sao Paulo (Brésil) et popularisée en France par le Dr Anthony Fardet.

Elle distingue quatre groupes d’aliments selon leur degré de transformation.

 

Le groupe 1 : Les aliments bruts ou peu transformés
Les aliments non transformés (bruts ou naturels) sont les parties comestibles des végétaux (graines, fruits, feuilles, tiges, racines) ou des animaux (muscles, abats, oeufs, lait), les champignons, les algues, et l’eau.
Les aliments peu transformés sont des aliments naturels soumis à un ou des traitements, essentiellement physiques, qui ne modifient pas substantiellement les propriétés nutritionnelles et le mode de consommation des aliments d’origine.
Le groupe 1 inclut aussi les associations d’aliments bruts tels que les mélanges de fruits secs, les mélanges de fruits secs et de fruits à coques sans sucre, miel et huile ajoutés, le « granola » (un mélange d’avoine, d’amandes et de miel apparenté au muesli) ; les aliments complémentés avec des vitamines et des minéraux généralement ajoutés pour remplacer les nutriments perdus durant la transformation. Les aliments du groupe 1 peuvent contenir, mais c’est rare, des additifs.

 

Le groupe 2 : Les ingrédients culinaires
Ce sont des substances extraites du groupe 1 par des transformations physiques et chimiques, telles que le pressage, le raffinage, la meunerie, le broyage et le séchage par pulvérisation, ou provenant directement de la nature comme le sel. Elles ont des propriétés et des usages nutritionnels très différents des aliments entiers originaux. L’objectif de ces transformations est de fabriquer des produits utilisables pour préparer, assaisonner et cuire les aliments du groupe 1 afin d’élaborer des plats « faits maison » : soupes, bouillons, pains, conserves, salades, boissons, desserts et autres préparations culinaires diversifiées et agréables.
Les produits qui associent deux éléments du groupe 2 comme le beurre salé, des éléments du groupe 2 enrichis en minéraux ou vitamines (sel iodé) et le vinaigre fabriqué par fermentation acétique du vin ou d’autres boissons alcoolisées restent dans ce groupe.
Les éléments du groupe 2 peuvent contenir des additifs ayant pour fonction de préserver les propriétés originales de l’aliment.

Exemples : huiles végétales, farines, sel, sucres, vinaigre…

 

Le groupe 3 : Les aliments transformés
Les produits transformés sont relativement simples et sont fabriqués essentiellement à partir d’un aliment brut ou peu transformé du groupe 1 auquel on ajoute sel, sucre ou une autre substance culinaire du groupe 2 comme l’huile ou le vinaigre. La plupart des aliments transformés sont donc constitués d’un ou deux ingrédients. Les procédés de transformation incluent des méthodes de conservation et de cuisson variées, et dans le cas du pain et du fromage, des fermentations non alcooliques. Le but principal de la fabrication des aliments transformés est d’augmenter la « durée de vie » des aliments du groupe 1, ou de modifier ou d’améliorer leurs qualités sensorielles. Les aliments transformés peuvent contenir des additifs ayant pour but de conserver les propriétés originales de l’aliment ou de résister à la contamination microbienne.
Les boissons alcoolisées produites par fermentation des aliments du groupe 1 comme la bière, le cidre et le vin sont classées dans le groupe 3.

 

Le groupe 4 : Les aliments ultra-transformés
Ce sont des formulations industrielles réalisées typiquement à partir de cinq ingrédients ou plus, voire beaucoup plus. Ces ingrédients sont souvent ceux utilisés dans les aliments transformés tels que le sucre, le sel, les huiles, les autres matières grasses, des antioxydants, des stabilisants et des conservateurs. Mais il y en a des spécifiques. Les ingrédients que l’on ne trouve que dans les aliments ultra transformés incluent :

des substances non communément utilisées en cuisine à la maison comme la caséine, le lactose, le lactosérum, le gluten, les huiles hydrogénées, les protéines hydrolysées, les maltodextrines, le sucre inverti, etc.
des additifs dont le but est d’imiter les qualités sensorielles des aliments du groupe 1 ou de masquer les qualités sensorielles indésirables des produits finaux : les colorants, les arômes, les exhausteurs de goût, les édulcorants, les épaississants, les agents de charge, les agents antiagglomérants, les émulsifiants, etc.
Plusieurs procédés industriels sans aucun équivalent domestique sont utilisés dans la fabrication des produits ultra transformés, comme l’extrusion, le moulage et les prétraitements pour la friture. L’objectif principal de l’ultra-transformation industrielle est de créer des produits prêts à l’emploi ou à être chauffés, destinés à remplacer les aliments bruts ou peu transformés qui eux, sont naturellement prêts à être consommer comme les fruits, fruits à coque, le lait, l’eau, les boissons, plats, desserts et repas fraîchement préparés.

Les attributs communs des produits ultra transformés sont l’hyperpalatabilité, des emballages sophistiqués et attrayants, des allégations santé, une forte rentabilité économique, et le fait de porter la marque d’une compagnie transnationale …

 

Une classification validée par la science
La classification NOVA est aujourd’hui reconnue par les décideurs politiques dans les rapports de la FAO et de la Pan American Health Organization. Elle est à la base des principales recommandations du guide national brésilien pour l’alimentation et la nutrition. Elle est validée comme un outil pour la recherche en nutrition et en santé publique. D’ailleurs, depuis 2010, des études scientifiques ont été régulièrement publiées sur la base de la classification NOVA.
Au Brésil, elle a été utilisée, notamment, pour évaluer :

  • les changements dans le temps des habitudes alimentaires ;
  • l’impact de la consommation de produits ultra-transformés sur le contenu alimentaire en macro- et micronutriments
  • l’association entre la consommation de produits ultra transformés et l’obésité ;
  • l’influence de l’environnement alimentaire et de la publicité sur la consommation de produits ultra-transformés.

 

Aux États-Unis, la classification NOVA a été utilisée pour évaluer l’impact des produits ultra-transformés sur la consommation de sucre ajouté. Au Royaume-Uni, elle a été utilisée pour étudier les habitudes d’achats alimentaires des ménages en fonction des prix relatifs des produits alimentaires, et pour estimer la réduction potentielle du risque de maladies cardiovasculaires dès lors que l’on réduit la consommation de produits ultra-transformés.

 

Au total, ces études et toutes les autres menées dans des dizaines de pays à travers le monde montrent que :

  • la production et la consommation de produits ultra-transformés augmentent de façon exponentielle ;
  • les produits ultra-transformés prennent la place dans les habitudes alimentaires, des aliments non transformés ou peu transformés ;
  • ils remplacent les plats et les repas fraîchement préparés à partir d’aliments non transformés ;
  • ils font l’objet d’un marketing agressif ;
  • ils ont un impact négatif colossal sur la qualité de l’alimentation humaine ;
  • ils ont de graves conséquences sur la santé en termes d’obésité, de diabète, de syndrome métabolique et de profil lipidique (taux de cholestérol, triglycérides dans le sang).

Pour en savoir plus sur la classification NOVA et sur comment elle peut nous aider à gagner 10 ans d’espérance de vie en bonne santé, …, Mangeons vrai.