Le symbole d’Omakëya pourrait être un arbre.
Pour trois raisons essentielles.
1. L’arbre est patient.
Il pousse lentement, silencieusement, sans précipitation.
Il nous rappelle que les choses qui comptent se construisent dans la durée.
2. L’arbre est utile.
Il nourrit, protège, abrite, soigne, répare, respire.
Il donne plus qu’il ne prend — à l’image de ce que devrait être toute activité humaine.
3. L’arbre est relation.
Il dialogue avec le sol, les champignons, les oiseaux, les racines voisines.
Il incarne l’interdépendance.
Dans un monde fragmenté, l’arbre est un maître.
Dans un monde stressé, il est un refuge.
Dans un monde épuisé, il est une promesse.
Omakëya veut rendre aux arbres la place qu’ils méritent, dans les jardins, les vergers, les villes, les modes de vie.
Pas comme décor.
Pas comme simple “production”.
Mais comme partenaires de résilience, de beauté et de santé.