IG : Indice Glycémique et Hypoglycémie Réactionnelle

L’indice glycémique (IG) permet de classer la aliments en fonction de l’élévation de la glycémie (= taux de glucose sanguin) qu’ils produisent quand on les mange.

La référence est celle du glucose lui-même qui par convention est notée 100, valeur maximum. Il est un bon indicateur de la vitesse à laquelle sont digérés les glucides.

La valeur normale (« glycémie à jeun ») est proche de 1g/l de sang (0.7 à 1.1 g/l de sang selon personnes et métabolisme).

Lorsque l’on mange un aliment, la glycémie augmente.

Quand la glycémie s’élève au-dessus d’1 g/L, il y a hyperglycémie.

Pour remédier à cela, le corps secrète une hormone par l’intermédiaire de son organe le « pancréas », cette hormone s’appelle l’ insuline : cette hormone permet de ramener la glycémie à son taux normal.

Ainsi, plus les aliments ont un indice glycémique élevé et plus ils sont consommés en grande quantité, plus la glycémie s’élève et plus la production d’insuline est importante pour faire baisser cette glycémie.

De plus, l’hypoglycémie réactionnelle provoque coup de pompe, …, (se traduisant par siestes, …)  car le cerveau utilise le glucose comme source d’énergie.


Taux de glycémie à ne pas dépasser : 

Le taux de glycémie à jeun est jugé normal lorsqu’il est compris entre 0,70 et 1,10 g par litre de sang.

Ce chiffre est à bien distinguer de celui considéré dans le cadre d’une mesure de la glycémie postprandiale. Celle-ci est réalisée 1 h 30 après un repas et le résultat doit, dans ce cas, être de moins de 1,4 g/l (ou 7,8 mmol/l).

Par ailleurs, on estime qu’il y a une hypoglycémie si le taux de glucose dans le sang est inférieur à 0,6 g/l ou qu’il y a hyperglycémie lorsqu’il excède 1,10 g/l. Enfin, on peut fortement suspecter un diabète si deux tests de taux de glycémie à jeun successifs donnent un résultat supérieur à 1,26 g/l.

 

 


 

Avantage des aliments à IG bas : 

  • meilleurs répartition des graisses. S’il y a forte production d’insuline, il y a davantage stockage au niveau de la ceinture abdominale.
  • éviter les « coups de pompe ». En effet, le cerveau utilise le glucose comme source d’énergie, il est donc très sensible à toute hypoglycémie qui produit fatigue, susceptibilité …
  • meilleurs pour la santé ! Les variations de glycémie trop fréquentes entraînent des pics de sécrétion d’insuline qui dérèglent le pancréas, pics qui augmentent, sur le long terme, le risque d’apparition de diabète de type 2, de cancers, de maladies cardio-vasculaires …
  • améliorer les performances sportives : plus on consomme des aliments à IG élevés, plus notre corps sécrète de l’insuline (hormone responsable du stockage du sucre dans les cellules souvent sous forme d’adipocytes). Cette sécrétion permanente d’insuline va entraîner une résistance à l’insuline des récepteurs des cellules musculaires ; ils vont donc avoir de plus en plus de difficulté à capter le glucose. Du coup, ces cellules musculaires stockent moins de glycogènes musculaires, carburant indispensable pour les efforts sportifs. Résultats : faute d’énergie, les efforts sont soutenus moins longtemps.

 

Inconvénients des aliments à IG élevés :

  • diminution des performances sportives car moins bonne sensibilité à l’insuline
  • coup de pompe suite à une hypoglycémie réactionnelle car le cerveau utilise le glucose comme source d’énergie.
  • augmentation des fringales suite à l’hypoglycémie réactionnelle
  • mauvaise répartition des graisses autour de la ceinture abdominale
  • augmentation du phénomène de glycation (vieillissement cellulaire)
  • risque de résistance à l’insuline avec développement de diabète et d’obésité…
  • déséquilibre acido-basique avec risque sur moyen et long terme de développer l’ostéoporose, chute du système immunitaire, fonte de la masse musculaire, fatigue, risque de calcul augmenté …

 

 


 

Pour aller plus loin :

  • un aliment naturel a un IG plus bas qu’un aliment transformé (raffiné)
  • un aliment cuit a un IG plus élevé (exemple : Carottes crues 16 / Carottes cuites 47)
  • un aliment broyé a un IG plus élevé (fruit pomme – purée de pomme – jus de pomme)
  • un aliment refroidi après cuisson a un IG plus bas
  • un aliment à IG haut, consommé pendant un repas équilibré, a un IG modéré

lien 1 : Métabolisme : Glucose vs Cétones

 

Éternelle méduse «Turritopsis dohrnii »

 

Virtuellement immortelle, la méduse «Turritopsis dohrnii» déjoue le vieillissement en retombant en enfance lorsque elle devient adulte (comparable à un papillon capable de revenir à l’état chenille »).

La découverte a été réalisée un peu par hasard. Un étudiant avait laissé une méduse sur son plan de travail pendant un week-end. En retournant au laboratoire le lundi, au lieu de trouver la méduse, il a trouvé le polype.

Cette propriété atypique inspire Shinya Yamanaka : Prix Nobel de médecine en 2012 pour ses expériences sur l’induction de cellules souches, le scientifique cite la méduse et sa transdifférenciation comme le point de départ de ses travaux …

 

Des records à étudier, et à s’inspirer !

  • 50 ans pour le homard européen (Homarus gammarus)
  • 150 ans pour l’hoplostèthe orange (Hoplostethus atlanticus)
  • 200 ans pour l’oursin rouge géant (Astropyga radiata).
  • 200 ans pour baleine boréale (Balaena mysticetus)
  • 400 ans pour le requin du Groenland (Somniosus microcephalus)
  • 500 ans et plus pour la cyprine (Arctica islandica)
  • immortalité (théorique) pour la méduse Turritopsis nutricula

Le médecin du futur ne donnera pas de médicaments ; il formera ses patients à prendre soin de leur corps, à la nutrition et aux causes et à la prévention des maladies. de Thomas A. Edison, inventeur du phonographe, 1903


 

et nous demain ?

  • Immortalité grâce aux prouesses de la médecine + santé connecté + vie holistique + épigénétique + alimentation …
  • Accès à l’éternité en se téléchargeant dans une machine …

Pour commercer, il serai bon d’avoir chacun une bonne hygiène de vie + holistique + équilibre + épigénétique pour pouvoir VIVRE longtemps, heureux et en bonne santé ! 

 

 

 

Radicaux libres et antioxydants

 

Un radical libre est une entité (atome, molécule ou ion) possédant un ou plusieurs électrons non appariés, dit célibataires, sur sa couche externe, ce qui la rend instable.

En biologie, les radicaux libres sont des dérivés réactifs de l’oxygène.

Ils sont produits naturellement par notre organisme, principalement par nos cellules, lors de la transformation des nutriments en énergie (métabolisme), mais ils peuvent aussi provenir de sources extérieures comme le tabac, l’exposition aux UV, la pollution environnemental et la qualité de l’air que nous respirons, le stress, etc.

Les radicaux libres agressent nos cellules en se combinant à elles.

Plus généralement, les radicaux libres attaquent notre peau (rides, …), nos organes et notre ADN et seraient responsables du vieillissement global de notre organisme, de l’affaiblissement de notre système immunitaire et surement source potentiel d’un certain nombre de maladies graves… Les radicaux libres seraient à l’origine de plus de 200 maladies dont les maladies cardio-vasculaires, certains cancers, certaines maladies cérébrales dégénératives (maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, sclérose en plaque), certaines maladies des yeux (cataracte, dégénérescence de la rétine), l’asthme, l’ostéoporose et tant d’autres.

 

Les sources externes de radicaux libres : radiations, soleil, pollution, tabac, stress…

Les radicaux libres sont également produits par des phénomènes extérieurs à notre organisme (dits exogènes) comme l’exposition aux rayons ultraviolets ou aux rayons X, la pollution présente dans l’air que nous respirons, dans l’eau et dans les aliments que nous consommons ou encore l’exposition à la fumée de cigarette.

Les aliments trop cuits ou brûlés contiennent également beaucoup de radicaux libres (attention à la cuisson au barbecue ou au grill !).

Le stress, physique ou psychique, agit également sur les mitochondries qui en produisent davantage.

 

Les antioxydants : l’antidote contre les radicaux libres

Les antioxydants sont des molécules qui neutralisent les radicaux libres dans une réaction d’oxydation, les rendant inoffensifs. Ils sont donc l’antidote parfait pour lutter contre les effets redoutés des radicaux libres et ainsi nous conserver jeune !

Les antioxydants regroupent certains minéraux, vitamines et enzymes.

On les trouve dans la plupart des végétaux (fruits et légumes riches en vitamines et polyphénols), le chocolat, certains mollusques, le thé vert.

Les vitamines C et E, les bêta-carotènes (précurseurs de la vitamine A) et certains oligo-éléments (zinc, sélénium, manganèse) sont des antioxydants.

 

 


 

D’où la nécessite d’avoir une bonne hygiène et qualité de vie, tant au niveau que de l’alimentation, de l’hydratation, de travail, de l’environnement, …

 

en conclusion :

  • Evitez les expositions solaires sans protection. (protection anti UV par crème solaire de qualité, portez des lunettes anti lumière bleue quand vous êtes sur écrans PC?… bref protégez vous des mauvais rayons lumineux …
  • Utilisez des soins et crème pour nourrir et protéger votre peau, …
  • Evitez ou Limiter
    • Évitez de fumer ou diminuez le tabac.
    • Limitez votre consommation de produits alimentaires contenant des produits toxiques (métaux lourds, colorants, produits rances, pesticides, chlore dans l’eau du robinet). Préférez l’alimentation Bio, local, de saison pour augmenter la qualité des nutriments, vitamines, … et éviter d’accoite la pollution de la planète avec le transports de produits venus du bout du monde !
    • Limitez la consommation d’aliments frits, brunis, carbonisés ou fumés, … et plus généralement limitez l’usage du barbecue ou du grill, et veiller au bonnes pratique de mode de cuissons, avec le bon choix du type d’huile de cuisson afin d’éviter « les points de température de fumée ».
    • Evitez l’alcool.
    • Evitez le stress alimentaire (par exemple : lundi repas asiatique, mardi mexicain, … et dimanche soir fast food ; mais préférer une même typologie de repas plus local avec de temps en temps, un extra avec une cuisine du monde, mais de facon exptionnelle d’un point de vue fréquence)
    • Evitez le stress physique, et veillez à la bonne récupération
    • Evitez le stress intellectuel, et préférez une vie holistique et un métier µde type « IKIGAI ».

 

  • Maximisez :
    • Fruits et légumes riches en antioxydants.
    • Boissons riches en antioxydants.
    • Veillez à votre qualité de vie et votre environnement

 

Lien 1 : Café

Lien 2 : Thé

Lien 3 : Mode de Vie

Lien 4 : Type de Régime Alimentaire

Lien 5 : Mode de Fonctionnement Alimentaire

Lien 6 : Cuisine et Cuissons

Lien 7 : pollutions à la maison

Lien 8 : IKIGAI

 

Liens « Bonus »

Evolution corps homme en fonction de l alimentation et du mode de vie

 

Le médecin du futur ne donnera pas de médicaments ; il formera ses patients à prendre soin de leur corps, à la nutrition et aux causes et à la prévention des maladies. de Thomas A. Edison, inventeur du phonographe, 1903

Notre environnement a une influence sur notre génome par des modifications dites épigénétiques. Par exemple, avec des patrimoines génétiques identiques, deux jumeaux peuvent évoluer différemment en fonction de leurs environnements respectifs. Les individus, et par voie de conséquence leurs gènes, sont en effet soumis à de nombreux facteurs environnementaux : alimentation, maladies, médicaments et toxiques, stress, lieu & hygiène de vie, qui peuvent modifier autant leurs cellules que leur ADN.

Toutes ces modifications constituent autant de « marques épigénétiques » regroupées sous le terme d’épigénome. Les modifications épigénétiques sont induites par l’environnement au sens large : la cellule reçoit en permanence toutes sortes de signaux l’informant sur son environnement, de manière à ce qu’elle se spécialise au cours du développement, ou ajuste son activité à la situation.

Ces signaux, y compris ceux liés à nos comportements (alimentation, tabagisme, stress…), peuvent conduire à des modifications dans l’expression de nos gènes, sans affecter leur séquence.


Nous avons la chance de vivre dans l’ère moderne, avec un tas de connaissances sur le corps humain (métabolisme, santé et maladies, …), et ère moderne qui nous offre l’accès au mesures et contrôle de la santé sous le gîte du corps médicale mais également en santé connecté et mesures à la maison (taux de cétones, analyses corporel par segmentations, mini ECG, …).

Nous pouvons donc influer en temps réel sur notre santé, bien être, …, directement en modifient / adaptant nos modes de vie, alimentations, activités, … et en mesurer les résultats et modifications corporels / analyses médicales / performances / …

 


– Épigénétique & Holistique & Équilibre


 

lien 1 : Maîtriser sa vie – sculpter sa vie

lien 2 : Quitter sa zone de confort !

lien 3 : 12 mauvaises habitudes à bannir

 

Épigénétique : Comment l’environnement, l’alimentation, ou le stress modifient nos gènes

 

L’épigénétique (du grec ancien ἐπί, épí, « au-dessus de », et de génétique) est la discipline de la biologie qui étudie la nature des mécanismes modifiant de manière réversible, transmissible (lors des divisions cellulaires) et adaptative l’expression des gènes sans en changer la séquence nucléotidique (ADN).

« Alors que la génétique correspond à l’étude des gènes, l’épigénétique s’intéresse à une « couche » d’informations complémentaires qui définit comment ces gènes vont être utilisés par une cellule ou… ne pas l’être. »

« C’est un concept qui dément en partie la « fatalité » des gènes. »

 


Dans l’histoire de ce sujet d’étude, l’épigénétique est d’abord mise en évidence par la différenciation cellulaire puisque toutes les cellules d’un organisme multicellulaire ont le même patrimoine génétique, mais l’expriment de façon très différente selon le tissu auquel elles appartiennent.

Puis ce sont les possibilités d’évolution d’un même œuf en mâle ou femelle chez les tortues ou crocodiles par exemple, en reine ou ouvrière chez les abeilles, qui prouvent que des mécanismes peuvent lier des facteurs environnementaux et l’expression du patrimoine génétique.

En matière d’évolution, l’épigénétique permet d’expliquer comment des traits peuvent être acquis, éventuellement transmis d’une génération à l’autre ou encore perdus après avoir été hérités.

La mise en lumière récente de ces moyens épigénétiques d’adaptation d’une espèce à son environnement est selon Joël de Rosnay en 2011 « la grande révolution de la biologie de ces 5 dernières années » car elle montre que dans certains cas, notre comportement agit sur l’expression de nos gènes.

Elle explique aussi le polyphénisme, par exemple les changements de couleur en fonction des saisons (tels le renard polaire qui devient blanc en hiver).

L’épigénétique a des applications possibles en médecine, avec des perspectives thérapeutiques nouvelles notamment à l’aide d’« épi-médicaments », mais aussi en biologie du développement, agronomie ou nutrition.

 


lien initial 1 : Vie holistique et équilibre : vivons sains, heureux et longtemps

lien initial 2 : Epigénétique : Comment l’environnement influence nos gènes


 

lien 1 : La santé, c’est un esprit sain dans un corps sain

lien 2 : 12 mauvaises habitudes à bannir

lien 3 : Se ressourcer – Méditer – Voyager – … pour prendre un nouveau souffle

lien 4 : Créer son espace ZEN, pour mieux savoir se retrouver

lien 5 : Voyager, c’est y semer la diversité de la Terre. Voyager, c’est l’embellir des couleurs du monde.

lien 6 : changer de perception 

lien 7 : esprit et parachute 

Lien 8 : switcher
Lien 9 : b Bonheurs
Lien 10 : zen attitudes
Lien 11 : se sentir bien
Lien 12 : prioriser son bien être
Lien 13 : équilibre
Lien 14 :zone de confort

Alimentation : guérir et rester sain, en bon santé et heureux grâce à l’alimentation

 

Le médecin du futur ne donnera pas de médicaments ; il formera ses patients à prendre soin de leur corps, à la nutrition et aux causes et à la prévention des maladies. de Thomas A. Edison, inventeur du phonographe, 1903

 

Toute consultation médicale, encore actuellement, DOIT se terminer par une ordonnance, la plus remplie possible.

Ceci se doit de devenir faux dans de nombreux cas, trop souvent, par facilité ou empathie, remercier par une belle ordonnance, bien remplie !!!

Ce sont les patients qui le réclament ! Un bon médecin est devenu à leurs yeux un médecin DONNANT BEAUCOUP DE MÉDICAMENTS. Malheur à celui qui tente de résister et qui refuse de prescrire des analyses, des examens et des médicaments, même s’ils sont inutiles ou dangereux !!

En caricaturant, on pourrait dire que le complexe médico-industriel transforma les étudiants de médecine en machines à apprendre par cœur des listes de maladies et les médicaments correspondants.

 

Or grâce à l’ÉPIGÉNÉTIQUE et une vie HOLISTIQUE : avec une grande partie due à l’alimentation, on sait aujourd’hui que les gènes peuvent être « allumés » ou « éteints » par plusieurs types de modifications chimiques qui ne changent pas la séquence de l’ADN comme des méthylations de l’ADN et des modifications des histones, ces protéines sur lesquelles s’enroule l’ADN pour former la chromatine.

Toutes ces modifications constituent autant de « marques épigénétiques » regroupées sous le terme d’épigénome. Les modifications épigénétiques sont induites par l’environnement au sens large : la cellule reçoit en permanence toutes sortes de signaux l’informant sur son environnement, de manière à ce qu’elle se spécialise au cours du développement, ou ajuste son activité à la situation.

 

lien 1 : Épigénétique : Comment l’environnement, l’alimentation, ou le stress modifient nos gènes

lien 2 : La santé, c’est un esprit sain dans un corps sain

lien 3 : 12 mauvaises habitudes à bannir

lien 4 : Vie holistique et équilibre : vivons sains, heureux et longtemps

lien 5 : Quitter sa zone de confort !