Gérer la peur du regard des autres

Regardons la bien, est-ce qu’elle nous fait peur ?

Les personnes qui parlent, jugent ou critiquent sont souvent, malheureusement, celles qui n’ont pas osé dans la vie, sont frustrées voire aigries.

En effet, il est beaucoup plus facile de rester dans sa zone de confort que d’en sortir. Et le changement ça fait peur, à nos proches en premiers. Dans ce cas, riposter mentalement par la question « et toi, tu as fait quoi dans ta vie ? » Peut être un bon moyen de se recentrer et de gérer ses émotions.

Apprenons néanmoins à être vigilant et à prendre du recul dans certains cas. afin d’effectuer la distinction entre les avertissements et conseils bienveillants à notre égard versus les personnes mal attentionnées. Le fameux jeu de L’EGO.

Voici le mantra que je répète de moins en moins car à force il s’ancre en moi : « l’avis des autres est la vie des autres. »

Si vous êtes convaincu(e) et motivé(e) par votre projet, votre idée, votre envie, le mieux est donc :

  • de mettre des œillères pour avancer,
  • d’effectuer et tout mettre en œuvre pour ce qui est bon pour nous,
  • de bâillonner la petite voix qui nous dit « que vont penser les gens » « ça ne va pas plaire à tout le monde »…
  • de nous entourer de personnes qui vous boostent, croient en nous et sont bienveillantes,
  • de prendre conseil et s’inspirer des personnes qui ont osé,
  • de lâcher prise sur les qu’en dira-t-on et écouter son cœur.

Quoi qu’il en soit, nous ne pouvons pas empêcher les gens de parler : ça les occupent !

En revanche, pendant ce temps là, nous pouvons ne pas perdre de temps en nous triturant l’esprit, en étant bienveillant envers nous, en nous occupant des affaires qui nous regardent et/ou impactent les prochaines générations.

Alors lâchons prise et soyons nous même, « Candy raton » est toujours très occupée !

Prenons notre juste place dans nos choix, nos hobbies, notre look vestimentaire, notre vie familiale, amicale et professionnelle : sans artifice. Et tant pis, si certains ne sont pas d’accord.

Apprenons à ne plus prêter d’attention aux jugeMENTs et à faire des choix bénéfiques pour nous dans le respect du bien de tous et la compassion de soi.

Pas toujours facile d’appliquer les 5 accords Toltèques

A l’origine, il y en avait quatre :
que votre parole soit impeccable ; quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ; ne faites pas de suppositions et faites toujours de votre mieux.

Pas facile de les appliquer quoi qu’il en soit ! Pour ma part, lorsque j’ai eu terminé le livre de Don Miguel Ruiz, j’étais plutôt perplexe et dubitative. J’avais l’impression qu’il fallait se métamorphoser en Bisounours. Mais curieuse de nature, j’ai tout de même continuer la suite par le cinquième accord toltèque : soyez sceptique, mais apprenez à écouter. Et là, Don Miguel Ruiz m’a convaincu. J’ai d’ailleurs eu tendance à le privilégier dans un premier temps.

Pour leur donner du sens, j’ai tenté de comprendre pourquoi il est important que la parole soit impeccable ? J’en suis arrivée à ces conclusions :

  • lorsque la parole dévie les pensées sont impactées également et cela détériore la qualité de la journée, augmente le stress, les idées noires et les relations avec autrui en pâtissent.
  • les mots peuvent blesser une personne et la transpercer comme une flèche ou une balle de pistolet. C’est d’ailleurs quasiment le même mouvement qui est effectué par les doigts pour utiliser une arme.
  • lorsque quelqu’un parle mal d’autrui ou d’une situation, cela revient à pointer du doigt. Et lorsque l’index désigne quelque chose, il y a trois doigts pointés vers soi.

Le secret des couples heureux qui durent

Qui n’a jamais regardé attendri, un couple d’octogénaires qui se tient amoureusement par la main dans la rue ?

Pour ma part, j’aime beaucoup les observer cela me remplit le cœur de joie.

Selon Gary Chapman, Auteur du livre  » Au cœur des 5 langages de l’amour « , pour bien s’aimer, il est essentiel de connaître deux choses :

  • premièrement, comment vous aimez être aimé ?
  • deuxièmement, comment votre partenaire aime être aimé ?

Mais alors, comment savoir ce que votre cher(e) et tendre aime ? Surtout, pas de supposition, le mieux est donc de lui poser directement la question !

Malgré tout, il n est pas facile, de répondre à cette interrogation… C’est pourquoi, Monsieur Chapman a identifié les 5 langages de l’amour comme suit :

  1. Les paroles valorisantes
  2. Les moments de qualité
  3. Les cadeaux
  4. Les services rendus
  5. Le toucher physique

Et finalement, si vous êtes parent, vous vous rendrez vite compte qu’intuitivement vous appliquez déjà ces langages avec vos chérubins.

Parce que l’amour est un partage, je vous souhaite d’aimer et d’être aimer en retour.

Antoine de Saint Exupéry disait : « L’amour est la seule chose qui grandit quand elle se partage ».

Les croyances limitantes de notre enfance qui nous coupent les ailes

Je pourrais passer un instant à m’échiner de vous convaincre mais rien de tel que votre libre arbitre. C’est pourquoi, je souhaite partager avec vous la vieille légende indienne de « l’aiglon qui croyait être une poule », extraite de mon livre Le monde enchanté de Marie Pauppins :


« Un jour, un œuf d’aigle est tombé d’un nid et s’est retrouvé dans un poulailler. Une poule , croyant qu’il s’agissait d’un de ses œufs l’a couvé jusqu’à éclosion.
Quelques minutes après avoir ouvert les yeux, le jeune aiglon s’est aperçu qu’il était différent de ses frères et sœurs. La couleur de son plumage était différente. Ses ailes étaient beaucoup plus longues et son bec beaucoup plus pointu.

Notre jeune aiglon est allé voir immédiatement sa mère et lui a demandé :
– Maman, maman, pourquoi suis-je différent des mes sœurs et de mes frères ?
Sa mère cherchait à lui répondre tant bien que mal :
– Je ne sais pas moi, mon fils. C’est la nature qui t’a fait ainsi. Arrête de te poser des questions et va jouer avec tes sœurs et tes frères dans la cour.
Le jeune aiglon est donc allé se dandiner dans la basse-cour avec ses frères et sœurs.

À vrai dire, notre jeune aiglon ne savait pas qu’il était en réalité un aigle, il croyait tout simplement être une poule comme les autres, et ce, malgré sa constitution différente.

Un beau jour, alors qu’il mangeait ses graines dans la basse-cour avec ses frères et sœurs, notre jeune aiglon s’est étiré le cou et a aperçu dans le ciel bleu des oiseaux magnifiques et majestueux qui volaient et qui planaient à travers les nuages.
Il s’agissait d’aigles royaux. Il se disait à l’intérieur de lui : « Wow ! C’est magnifique ! Moi aussi je veux voler comme ces oiseaux admirables. » Et il est resté planté là pendant plusieurs minutes à contempler ces oiseaux majestueux. Il était impressionné, pour ne pas dire subjugué.

Dès qu’il les a perdus de vue, notre jeune aiglon est accourt vers sa mère en criant :

– Maman, maman, as tu vu ces magnifiques oiseaux ?

– Oui bien sûr, mon fils.

– Dis-moi, maman, est-ce que je pourrai moi aussi voler comme eux un jour ?

Et sa mère lui répond avec du sarcasme dans la voix et sur un ton désobligeant :

-Mais non, mon fils, tu ne voleras jamais comme ces oiseaux. Tu n’es qu’une poule et les poules ne s’élèvent pas comme ça dans les airs. Allez, arrête de te poser toutes ces questions et retourne jouer avec les autres.  » Tout démoralisé, notre jeune aiglon est retourné alors avec ses frères et sœurs.

La suite de cette histoire est triste. Malheureusement, notre jeune aiglon n’est jamais sorti de sa basse-cour. Il ne s’est jamais envolé de sa vie. En fait, notre jeune aiglon est mort dans son poulailler ! Pourquoi ? Parce qu’il n’a jamais osé déployer ses ailes et prendre son envol. Parce qu’il a toujours cru et à toujours été convaincu toute sa vie qu’il n’est qu’une poule… »

J’espère que cette légende vous a inspiré et vous de dénicher les croyances de votre enfance pour les mettre au tapis 😉

Décupler votre énergie

Voici quelques clés pour augmenter votre niveau de bonnes énergies :

  • – avoir une attitude mentale positive : l’amour et la joie sont les plus belles énergies,
  • – surveiller la qualité de vos pensées : un média mal choisi peut vous parasiter surtout à l’heure des informations.
  • – méditer ou prendre du temps pour rêver, se vider l’esprit,
  • – choisir ses loisirs selon ses aptitudes physiques et ses goûts : marche, course à pied, danse, cinéma, théâtre…,
  • – se rapprocher de la nature : se promener en forêt, observer les oiseaux, jardiner…,
  • – choisir les personnes avec qui vous partagez des discussions ou des moments privilégiés ; fuir les gens avec une attitude mentale négative,
  • – utiliser son temps à bon escient pour éviter de le perdre,
  • – absorber chaque jour des vitamines mentales, spirituelles en lisant un livre ou en regardant une conférence inspirante,
  • – prendre soin de son sommeil et/ou faire une sieste,
  • – s’exposer 10 minutes à la lumière du soleil,
  • – être : en gratitude pour la bonne santé et la vie en général,
  • – garder la foi, l’espoir : que vaut votre foi ? Si elle n’est pas solide, c’est la détresse qui vous guette.
  • – dans la mesure du possible avoir une alimentation équilibrée,
  • – diriger votre énergie vers un but utile,
  • – identifier quand la peur est une émotion justifiée ou injustifiée ?

Je vous souhaite une journée pleine de joie et d’amour.

Et si votre pire ennemi c’était vous ?

Je vous propose un test à réaliser en toute franchise avec vous-même. C’est très rapide et vous avez beaucoup à y gagner, promis !

  1. Vous êtes vous déjà surpris, dire à haute voix ou mentalement ?  » ah mais que je suis con  » parce qu’un objet vous a échappé des mains par exemple.
  2. Avez-vous tendance parfois et même souvent à vous comparer négativement par rapport à un membre de votre famille, un supérieur, un ami ou une personne que vous venez de rencontrer simplement parce que vous trouvez la personne charismatique, intelligente ou gentille ?
  3. Vous arrive-t-il de vous rabaisser ?
  4. Avez-vous des croyances limitantes qui vous paralysent et empêchent d’agir ?
  5. Êtes-vous à l’écoute de vos émotions négatives ? (Je ne suis pas assez ceci. Je suis trop cela. Je n’aurais jamais le temps. Je manque de temps…)
  6. Avez-vous peur de décevoir les autres ?
  7. Ou peut-être vous infligez-vous un planning bien chargé ou surchargé ?
  8. A quand remonte votre dernière visite chez le médecin ?
  9. Avez-vous tendance à vous résigner parce que la vie vous y force, vous n’avez pas le choix, c’est ainsi… ?
  10. Avez-vous tendance à procrastiner ?

Je vous laisse continuer la liste des questions non-exhaustives et vous invite à une instropection si nécessaire.

Si vous avez répondu oui à la majorité des questions, il y a de grande chance pour que votre pire ennemi, ce soit vous ! Peut-être est-il temps de faire preuve de plus de bienveillance envers vous. La façon dont vous vous traitez, inspire et influence les autres à votre égard.

Je vous souhaite de vous offrir tout le respect que vous méritez et vous envoie toute mon amitié.

Amicalement votre !

Les 17 principes de la réussite selon Napoléon Hill

Vous avez un projet qui vous semble impossible, un rêve échevelé : je vous invite à y croire et à tout mettre en œuvre pour y arriver : mettez vous au défi ! Un peu comme le jeu d’enfant :  » cap ou pas cap « .

William Arthur Ward disait :  » Si vous pouvez l’imaginer, vous pouvez y arriver ; si vous pouvez y rêver, vous pouvez le devenir. « 

Dans ce contexte, rêver ne consiste pas à fermer les yeux, y penser très fort et attendre que ça se passe. Non, sans passage à l’action votre rêve restera au stade du projet.

C’est pourquoi Napoléon Hill nous conseille de libérer notre esprit en nettoyant les toiles d’araignée et de  » le faire immédiatement. « 

Dans le livre  » Le succès par la pensée constructive « , il nous transmet les 17 principes de la réussite suivants :

  1. L’attitude mentale positive
  2. Des objectifs clairs et définis
  3. La volonté d’évoluer, je me permets une adaptation ou la volonté de devenir une meilleure personne
  4. L’examen mûrement réfléchi
  5. L’autodiscipline
  6. L’esprit du Maître
  7. Le témoignage de sa foi
  8. Une personnalité rayonnante
  9. L’initiative personnelle
  10. L’enthousiasme
  11. La concentration
  12. Le travail en équipe
  13. Les leçons à tirer de l’insuccès
  14. La vision créatrice
  15. La dépense de temps et d’argent
  16. Le maintien d’un esprit sain dans un corps sain
  17. L’utilisation de la force cosmique de l’habitude que j’appelle aussi la loi de l’attraction dans mon livre  » Le monde enchanté de Marie Pauppins « .

Surtout, ajouter beaucoup d’espoir à chaque étape et principe.

Je vous souhaite d’oser rêver à l’extraordinaire et à l’infini !

Pour lutter contre la routine, mettez en place un rituel !

Si la routine vous ennuie, mettez en place un rituel !

Rien à voir avec les rites religieux ou la spiritualité pourtant il deviendra vite sacré pour vous ou un temps consacré rien qu’à vous.

Il s’agit ici d’un temps que nous nous accordons pour notre bien-être et/ou une récompense journalière et/ou hebdomadaire par exemple. Libre à vous, d’être créatif et innovant pourvu que cela soit bénéfique et bienveillant pour vous !

Perdu dans le travail, le quotidien, les priorités familiales et autres obligations auxquelles nous ne pouvons pas déroger, nous terminons parfois notre journée bien chargée sans avoir pris une minute pour soi. Parfois, celle-ci a même était une course contre la montre avec ces lots de contre-temps et mésaventures qui nous laissent parfois bien démunis ou sans voix tellement nous sommes fatigués, stressés. Sans compter, les embouteillages, la pollution sonore et environnementale, l’odeur corporelle du voisin dans le métro, la mauvaise humeur du Responsable, le deuil récent de la collègue, l’inflation, etc.

Dans ce contexte, il est primordial de prévoir un moment rien qu’à soi, une bulle de bien-être, un moment de calme après la tempête, un sas de décompression.

Un rituel bien-être n’a pas de prix et en même temps c’est un investissement rentable pour la bonne santé.

Maintenant à vous de jouer et d’en profiter : avez-vous un rituel rien qu’à vous ? Qu’avez-vous fait pour vous, rien que pour vous, aujourd’hui ou cette semaine ?

Prenez bien soin de vous ! C’est culpabilisant en tant que parent, époux ou conjoint… mais c’est salvateur pour tout le monde. Imaginez une carafe d’eau vide, elle ne peut servir à personne. Alors qu’une carafe pleine d’eau saine, non seulement elle hydrate mais aussi elle purifie et nettoie tout le monde.

Les attentes font toujours mal !

Avez-vous déjà fait quelque chose dans un but intéressé ? Gagner la confiance d’une personne, gonfler votre ego, ne pas décevoir les personnes, pour qu’un jour on rende la pareille (et donc créer de la dette en amont de manière à ce que la personne personne concernée se sente redevable par suite), s’intégrer dans un groupe. Et au bout du compte, vous vous êtes rendu compte que cela n’était pas en phase avec vos valeurs, votre personnalité et parfois même cela allait à l’encontre de vos intérêts.

Les gens intéréssés généralement attirent deux choses : l’objectif leur colle à la peau et les conséquences sont parfois défavorables pour eux.

Au final, cela génère en eux : déception, frustration, agacement et même parfois de la colère.

Je vous donne un exemple concret. Quelle est votre réaction lorsque vous laissez passer un automobiliste et qu’il ne vous remercie pas ? Avez-vous réalisé cette action dans un but altruiste ou êtes-vous dans l’attente d’un merci ? (Je vous invite d’ailleurs à imaginer un monde où plus aucun véhicule ne cède le passage à un autre par simple courtoisie, vous les entendez les klaxons 😉).

C’est pourquoi, il est préférable d’effectuer des actions désintéressées qui mettent en joie avec le coeur, qui donnent un sentiment d’accomplissement et de satisfaction. En cessant de désirer le fruit de nos actions, nous lâchons prise, l’ego et le sentiment de notre propre importance. Et bien sûr, la peur de l’échec disparaît puisqu’il n’y a plus d’attente sous entendu une obligation de réussite.

Tout cela est valable bien sûr à condition de cultiver l’amour de soi pour faire preuve de discernement et ne pas se laisser berner par un éventuel bourreau.

Assumer sa vulnérabilité et devenir invulnérable

En assumant ma vulnérabilité, je deviens invulnérable.

Cela demande le courage d’apprendre à me connaître, d’oser assumer mes peurs , mes défauts, ma part d’ombre et mes imperfections. Mais surtout, cela permet d’accueillir mes qualités et d’ oser me regarder dans les yeux pour prendre la responsabilité de mes actes et de mes erreurs.

Cela signifie devenir conscient de qui je suis, de ce que sait faire, de ce que j’aime ou je n’aime pas, d’où je viens et où je vais.

En épousant ma vulnérabilité, je reste moi ! Et cela fait toute la différence car cela devient un point fort supplémentaire.

Et comme le hasard fait bien les choses, en langue des oiseaux un vulnérable et invulnérable c’est la même chose ! Mais peut-être est-ce un message secret dans les mots ou un mets sage se crée
dans les maux.

Avez-vous peur du silence ?

Écouter le silence peut effrayer, il est souvent comblé. De nos jours, les magasins attirent (ou repoussent) les clients avec de la musique. Lorsque nous rentrons dans notre voiture, nous nous précipitons pour écouter de la musique, une émission ou les informations.

Les sons émettent une fréquence qui influe sur nous. N’avez-vous pas remarqué comment une chanson peut vous attendrir ou au contraire vous agacer ? La fréquence 528 Hz favorise la paix intérieure.

Il permet la prise de recul, l’introspection, favorise l’observation et nous connecte à notre corps et nos sens.

Il y a des silences qui en disent long.

Les paroles peuvent blesser, garder le silence plutôt que d’utiliser les mots comme une arme est un acte bienveillant.

Il peut être assourdissant ou interminable.

C’est une réponse qui ne ment jamais : il condamne ou valide. Et surtout il ne tolère aucun artifice.

Entrer dans le silence est un acte sacré. Il apporte des solutions, apaise l’esprit et recentre les pensées.

Utilisation des mots qu’il faut

C’est plus fort que moi, ‘il faut’ sonne faux chez moi.

Ce matin, je me suis levée de ‘bonheur’, heureuse de partager la journée et le week-end avec mon partenaire.

J’étais en train de me réveiller en douceur devant une jolie tasse remplie de délicieux café pur arabica et nous discutions de la journée à venir. J’étais donc tranquille et détendue jusque là. Soudain j’ai surpris mon corps se crisper lorsqu’il m’a ennoncé la liste de ce qu’il ‘faut’ faire dans la journée. Pourtant, j’ai bien remarqué que cette liste engendre de la satisfaction personnelle après l’accomplissement. Je me donc permise de l’arrêter pour vérifier qu’après tout cela il en tirerait un bénéfice personnel, une fierté et du bien-être. En réponse, j’ai obtenu : trois ‘oui’ !

J’ai donc convenu que pour ma motivation, la qualité de mes pensées et mon énergie, il est préférable d’effectuer les choses parce que j’aime le bénéfice que j’en retire plutôt que par obligation et l’oppression que cela génére.

Avec du recul, je me rends compte que dans les ‘il faut, je dois’ cela résonne comme une corvée.

Candide disait ‘il faut cultiver notre jardin’.

Je vous dis ça mais je dois vous laisser car il faut que j’aille tondre la pelouse enfin je veux dire ‘j’aime quand la pelouse est bien coupée, fraîche et que toute la famille est en sécurité.’

Je vous souhaite une belle journée, pleine de choses que vous aimez !

Transformez vos blessures et gagnez en sagesse

« Transformez vos blessures en sagesse. » Oprah Winfrey

Selon Lise Bourbeau, il existe 5 blessures de l âme : le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice.

Temps que nous n’en prenons pas conscience, nous portons les masques du déni, de la rigidité, du contrôle ou de la colère qui engendrent de la souffrance et en même temps nous sécurisent et donnent l’illusion d’être en sécurité.

Mais la vie est ainsi faite « tant que nous n’avons pas compris la leçon, l’histoire se répète » de manière à appuyer sur nos blessures. Ce qui nous amène à craquer par le biais d’un burn out par exemple et/ou à se démasquer et donc à remonter nos manches et à se mettre à travailler dessus.

Là, face au ravin, face au vide ou au trop plein qui remplit notre vie, nous sommes donc obligés d’y penser pour se mettre à les panser. Et parce que la vie est faites de choix ou de non choix, nous pouvons aussi continuer à choir.

La route est longue et nous sommes parfois tenter d’y mettre des panseMENTs pour leurrer notre esprit et le masque se débat…

Et lorsque nous nous relevons avec le temps, avec beaucoup de courage, de persévérance, avec l’âge ou parce que le destin nous y oblige, nous nous assagissons et osons regarder ce qui se cache sous les pansements, sous nos failles pour regarder en face nos cicatrices et oser être nous même, oser prendre notre place en épousant nos blessures. Nos failles deviennent nos forces, nous pardonnons, nous acceptons : pourquoi serions nous obliger de changer alors que nous devons vivre avec ?

« Avec le temps tout s’en va… » Léo Ferré

« On oublie jamais rien, on vit avec » Calogero

Nettoyage de printemps

Prendre soin de l’énergie de sa maison est aussi important que de prendre soin de soi. Ma grand mère l’appelait le nettoyage de Pâques mais il est plus commun de l’appeler le nettoyage de printemps. Au sortie de l’hiver, il est fréquent d’éprouver le besoin de nettoyer de fond en comble sa maison.

Voici une liste non exhaustive d’un protocole de 5S :

– soigner l’entrée, qui est le sas de décompression entre le monde extérieur et votre cocon. Le nettoyage de la porte intérieur et extérieur est donc indispensable. Peut-être est-il temps de changer le paillasson où tous les visiteurs laissent leurs  » mauvaises énergies  » ?
– nettoyer tous rideaux, les vitres, les coussins, luminaires, portes, poignées, interrupteurs et prises.
– laver la literie (couettes, couvertures, oreillers) et retourner le matelas.
– trier les médicaments périmés, les épices, les vêtements, les chaussures et au besoin désencombrer les objets cassés ou désuets.
– vider et nettoyer le congélateur et le réfrigérateur.
– pyroliser le four.

Et le temps venu, peut-être éprouverez vous le besoin de laver et aspirer la voiture.

Je vous souhaite un joyeux printemps symbole de renouveau et de l’arrivée des premières fleurs !

Inviter la simplicité dans sa vie

Et si la simplicité consistait à revenir à l’essentiel en éliminant tout superflu, chichi et en recyclant dans la mesure du possible.

A bien y réfléchir de quoi avons nous réellement besoin : de manger, de boire, d’aimer et se sentir aimer, être utile, garder la bonne santé physique et psychologique, prendre soin de son âme, être accepter par notre famille et nos pairs…

Peut-être, est-il temps de se récréer tout en se recréant ? Ce qui nous reconnecte à notre créativité et à notre cœur.

 

La simplicité n’est pas la pauvreté  ; c’est un dépouillement qui laisse plus de place à l’esprit et à la conscience.  Serge Mongeau

Livre sur cette thématique : Comment j’ai appris la simplicité de Satish Kumar

Les accords Toltèques au quotidien

A l’origine, il y en avait quatre :
que votre parole soit impeccable ; quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ; ne faites pas de suppositions et faites toujours de votre mieux.

Pas facile à appliquer quoi qu’il en soit ! Pour ma part, lorsque j’ai eu terminé le livre de Don Miguel Ruiz, j’étais plutôt perplexe et dubitative. J’avais l’impression qu’il fallait se métamorphoser en Bisounours. Curieuse de nature, j’ai tout de même continuer la suite par le cinquième accord toltèque : soyez sceptique, mais apprenez à écouter. Et là Don Miguel Ruiz m’a convaincu. J’ai d’ailleurs tendance à l’appliquer en premier.

Pour leur donner du sens j’ai tenté de comprendre pourquoi, il est important que la parole soit impeccable et j’en suis arrivée à ces conclusions :

– lorsque la parole dévie les pensées sont impactées également et cela détériore la qualité de la journée, augmente le stress, les idées noires et les relations avec autrui…
– les mots peuvent attaquer une personne et la transpercer comme une flèche ou une balle de pistolet.
– lorsqu’on parle mal d’autrui cela revient à pointer du doigt l’autre. Mais lorsque index montre une personne, il y a trois doigts pointés vers soi.

Les bienfaits de l’huile de coco

 

L’huile de coco est obtenue en pressant la chair de la noix de coco.

En cuisine, elle peut remplacer le beurre ou l’huile végétale dans les recettes sucrées ou salées. Elle donne un goût exotique et parfumé aux plats. Elle résiste bien à la chaleur et ne rancit pas facilement.

Côté santé, l’huile de coco peut aider à prévenir ou à traiter certaines infections, inflammations, maladies ou parasites. Elle renforce le système immunitaire, favorise la digestion, régule le taux de sucre dans le sang, stimule la thyroïde et améliore la mémoire.

Elle est efficace pour améliorer la vue ou en préventif et pour fortifier les cheveux. Pour cela, il suffit d’en mettre une petite noisette dans le nombril le soir avant de se coucher.

En cosmétique, elle permet aussi d’hydrater le corps après un bon bain ou une douche, et les cheveux avant le shampoing (avec la possibilité de laisser poser plusieurs heures ou toute une nuit).  Ce produit est tellement tout en un, qu’il peut également  être utiliser comme démaquillant pour ses effets nettoyants, hydratants et sa capacité à soulager les cernes.

Et pour l’hygiène buccale, le rituel gandouche, issu de la médecine ayurvédique, s’effectue à jeun. Il permet de désengorger la langue des bactéries et blanchir les dents par sa capacité à décoller la plaque dentaire. Cette pratique est une bonne gymnastique pour lutter contre rides des lèvres du fait des mouvements rotatifs à effectuer pour conserver l’élixir en bouche le temps du soin.

 

 

 

Qui est Marie Pauppins ?

Je suis une passionnée de lecture, de danse et de voyage depuis toujours. Avant de pratiquer le Reiki Usui, je souffrais d’affreuses migraines mais ça c’était avant que cette technique énergétique ne rentre dans ma vie ! C’est alors que le choix de mes livres s’est modifié et je me suis engagée sur la voie du développement personnel et de l’intelligence émotionnelle. Je n’imaginais jamais me mettre à l’écriture. Mais un jour, je me suis sentie tellement mieux qu’il m’a semblé comme une évidence de partager sur les différentes expériences que j’ai expérimenté. Aujourd’hui,  auteure, Maître Enseignante Reiki Usui et formée à l’hypnose Ericksonienne, il me tient à cœur de partager les différentes expériences qui ont contribué à mon mieux être. Adapte de la psychologie positive et des mantras, s’il fallait en appliquer qu’un se serait : garder toujours votre libre arbitre en faisant preuve de discernement !

Livre : Le monde enchanté de Marie Pauppins de Marie-Françoise BETREMA

Ce roman est l’histoire d’une jeune femme qui n’aime pas son prénom. Très tôt, sa destinée est d’être maman. Elle mène une vie sans vague lorsqu’une mauvaise nouvelle va devenir sa plus belle opportunité. Cet évènement va la pousser à reprendre sa vie en main, à remettre en cause son mode de fonctionnement, ses pensées, ses croyances et à arrêter de subir sa vie pour devenir une héroïne. Guidée par ses lectures, la musique et des rencontres avec des super-héros, telle une chrysalide, Marie Pauppins va cheminer vers la confiance et l’accomplissement de soi. Un livre où le partage, l’humour, la magie, le voyage et l’amour sont au rendez-vous.

Où l’acheter :

Lien : Amazon

Lien : Cultura

Lien : Fnac

Lien : Le Furet du nord

Lien : Hello éditions

L’amour de soi vs l’estime de soi

Emprunter le merveilleux chemin qui mène à l’amour de soi, c’est se relever à chaque fois que l’on tombe.

Je me demande d’ailleurs pourquoi parfois on préfère parler d’estime de soi ? Peut-être par peur que les autres jugent l’amour de soi égotique, narcissique. Alors que s’aimer pleinement consiste justement à laisser tomber l’égo, les peurs, les jugements et l’avis des autres qui est en fait la vie des autres.

Selon moi, s’estimer est une étape de ce long et exaltant parcours semé d’embûches, d’imprévus, de déconvenus qui après avoir été des éprouvantes épreuves se transformeront en leçons et parfois avec du temps et de la compassion seront nos plus beaux cadeaux de vie.

On s’imagine ou l’on nous fait croire trop souvent que nous sommes trop ceci ou au contraire pas assez cela. En développement l’amour de soi, nous ne permettons plus aux autres d’appuyer sur nos blessures de l’âme et nos failles. Allons à la rencontre de celles-ci pour oser l’amour de soi, oser voir la beauté dans toute chose, sortir des sentiers battus pour prendre notre juste place qui nous met à l’endroit où nous sommes nous et heureux, quitter le triangle dramatique de Karpman (cf. le livre  » Le monde enchanté de Marie Pauppins  » de Marie-Françoise BETREMA), laisser tomber les larmes, les masques pour nous dévoiler, oser dire non si cela n’est pas bon pour nous !

Marie Pauppins

 

lien : prendre soin de soi

 

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