Utilisation des mots qu’il faut

C’est plus fort que moi, ‘il faut’ sonne faux chez moi.

Ce matin, je me suis levée de ‘bonheur’, heureuse de partager la journée et le week-end avec mon partenaire.

J’étais en train de me réveiller en douceur devant une jolie tasse remplie de délicieux café pur arabica et nous discutions de la journée à venir. J’étais donc tranquille et détendue jusque là. Soudain j’ai surpris mon corps se crisper lorsqu’il m’a ennoncé la liste de ce qu’il ‘faut’ faire dans la journée. Pourtant, j’ai bien remarqué que cette liste engendre de la satisfaction personnelle après l’accomplissement. Je me donc permise de l’arrêter pour vérifier qu’après tout cela il en tirerait un bénéfice personnel, une fierté et du bien-être. En réponse, j’ai obtenu : trois ‘oui’ !

J’ai donc convenu que pour ma motivation, la qualité de mes pensées et mon énergie, il est préférable d’effectuer les choses parce que j’aime le bénéfice que j’en retire plutôt que par obligation et l’oppression que cela génére.

Avec du recul, je me rends compte que dans les ‘il faut, je dois’ cela résonne comme une corvée.

Candide disait ‘il faut cultiver notre jardin’.

Je vous dis ça mais je dois vous laisser car il faut que j’aille tondre la pelouse enfin je veux dire ‘j’aime quand la pelouse est bien coupée, fraîche et que toute la famille est en sécurité.’

Je vous souhaite une belle journée, pleine de choses que vous aimez !