Rythme Cardiaque

 

La fréquence cardiaque correspond au nombre de battements du cœur pendant un laps de temps donné, une minute généralement. Elle varie sous l’impact de nombreux paramètres :

  • le sexe
  • l’âge
  • la forme physique
  • la corpulence
  • la présence d’une pathologie
  • les émotions
  • la prise de médicaments

On estime que chez l’adulte, au repos, une fréquence cardiaque normale est comprise entre 60 et 100 battements par minute (bpm).

  • Elle est légèrement plus élevée chez les femmes que chez les hommes.
  • Le cœur des enfants bat plus rapidement : chez le nouveau-né, entre 120 et 160 fois par minute.
  • La fréquence cardiaque des sportifs / athlètes : peut s’abaisser à des niveaux très faibles, jusqu’à 40 bpm.

 

Bradycardie : fréquence cardiaque faible inférieure à 60 bpm ; causes possibles

  • la prise de certains médicaments comme les bêtabloquants
  • une pathologie cardiaque
  • une pathologie non cardiaque, comme l’hypothyroïdie ou hypertension intracrânienne
  • un déficit en potassium

Tachycardie : fréquence cardiaque élevée en dehors d’un effort physique, émotions, … ; causes possibles : 

  • Maladie temporaire (virus ou bactérie source de fièvre ou un état inflammatoire
  • une hyperthyroïdie
  • une anémie
  • une hypovolémie
  • la prise de drogues ou de boissons excitantes comme le café ou l’alcool
  • une embolie pulmonaire
  • une pathologie cardiaque

 

Pour aller plus loin :  des systèmes de sécurité, notamment biométrique utilisent le tracé propre de votre rythme cardiaque comme « mot de passe », au même titre que l’iris de l’œil ou les empruntes digitales.

 

Tableau : rythme cardiaque au repos, en fonction de l’age, sexe et forme physique : 

 

Fuyez le catabolisme et prenez du muscle!

 

La construction musculaire est un processus complexe à maîtriser (surtout sans produit complémentaires de type poudre de BCAA, créatinine, …), qui nécessite un état d’anabolisme quasi constant.

L’anabolisme, c’est la construction de nouveau tissu. Lorsque l’on s’entraîne trop ou que l’on n’apporte pas suffisamment de nutriments aux fibres musculaires, le catabolisme nous guette.

  • Concrètement, au niveau biologique, le catabolisme est un ensemble de voies métaboliques qui décomposent des molécules complexes (lipides, protéines, polysaccharides, acides nucléiques, etc.) en plus simples (acides gras, acides aminés, monosaccharides, nucléotides, etc.).
  • Ils peuvent soit s’oxyder pour libérer de l’énergie, soit être utilisés dans d’autres réactions anaboliques. Concrètement, dans le domaine de la musculation et du sport, cela signifie que les tissus musculaires se décomposent pour produire de l’énergie.

Le catabolisme, c’est le processus inverse de l’anabolisme : la dégradation musculaire !


Une alimentation de qualité, varié et équilibré, ainsi qu’un bon suivi médical et des mesures de conditions physiques journalières  permet de perdre du poids plus rapidement (type gras ou masse grasse), et préservé la masse musculaire (muscles ou masse maigre), voir en gagner.

Le catabolisme est un véritable problème car ce sont les muscles fondent très rapidement avec une mauvaise alimentation, qui peut être accéléré par une mauvaise pratique d’activités physiques et de récupérations.

Pour sécher efficacement, il est important de consommer des protéines, des fibres et des acides gras essentiels, afin de fournir les nutriments indispensables aux muscles et éviter le catabolisme.

 

Le surentraînement constitue la principale cause du catabolisme. Et il est très facile de tomber dans le surentraînement sans s’en apercevoir. En effet, en vous entraînant trop longtemps et trop souvent sans prendre soin de votre récupération musculaire, vous réduisez tout simplement votre capacité à prendre du muscle.

Le surentraînement réduit à néant vos espoirs de progression, et ses symptômes sont facilement reconnaissables :

  • Perte de motivation
  • Fatigue
  • Baisse des performances
  • Prise de gras
  • Perte de masse musculaire
  • Affaiblissement du système immunitaire
  • Blessures

 

 


Les différents types de muscles

Le muscle est un organe complexe qui n’est pas uniforme.

Pour pouvoir effectuer des gestes rapides ou pour bouger pendant des heures, le muscle est muni de différents types de fibres qui sont les cellules du muscle.

 

Les fibres lentes ou fibres rouges ou de type I :

Ces cellules sont rouges car elles sont gorgées de sang. En effet, seul le sang est capable d’amener un maximum d’oxygène à ces fibres qui en ont grandement besoin.

Elles sont fines et interviennent dans des exercices longs et d’endurance et forte capacité de résistance à l’effort.

 

Les fibres rapides ou fibres blanches ou de type II : 

Il s’agit de cellules pâles qui ont un diamètre important.

Elles ont des capacités de contractions rapides et interviennent dans des mouvements brusques comme lorsque vous faites un saut ou quand vous soulevez une charge.

 

Elles ont une résistance faible à l’effort et ne sont pas capables de se contracter longtemps.

 

Effets de l’entraînement et typologie de l’activité sportive : 

Intrinsèquement et de manière initial et général : chaque individu à une répartition égale de la part de chaque type de fibres mais certains ont des prédispositions.

L’entraînement / typologie du sport : peut modifier cette répartition de manière à avoir plus de fibres lentes ou plus de fibres rapides.

Ainsi, si vous vous entraînez pour un marathon, une partie de vos fibres rapides vont se transformer en fibres lentes pour permettre un effort long.

 

Composition : 

Ils sont principalement constitués d’eau (environ 75 %), de protéines (environ 20 %), de diverses substances telles que des glucides, lipides, magnésium etc… (environ 5 %).

En pleine forme physique : zones de performances santé / mincir / sport

  • Adaptez les quantités et qualités de votre nourriture, ainsi que vos activités (sports, bricolage, jardinage, …) en fonction de vos objectifs / besoins propres et résultats personnels en utilisant la méthodologie de la roue de deming ainsi que les appareils de mesures à la maison, sans oublier les conseils et suivi de votre médecin.

 

  • Essayez de rester dans une des 3 phases de transition « bien être / dynamisme ou endurance) selon le style et mode de vie personne. Le plus difficile et rare à atteindre est le niveau grale, le point d’équilibre ultime qui arrive à lier les 3 états au même instant (bien être / dynamisme / endurance). Ce ne doit pas devenir une obsession d’y arrivé, car peu de personnes y arrive, mais plutôt avoir la surprise de le connaitre, même momentanément cette zone magique.

 

  • Le temps de préparation / transition entre 2 phases doit se faire progressivement en 1 semaines minimum pour ne pas trop stresser son corps ; et pour des phases de minimum 5 semaines, pour pouvoir commencer à ressentir les changements / bénéfices.

 


 

Le médecin du futur ne donnera pas de médicaments ; il formera ses patients à prendre soin de leur corps, à la nutrition et aux causes et à la prévention des maladies. de Thomas A. Edison, inventeur du phonographe, 1903

 


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lien initial 2 : Vie holistique et équilibre : vivons sains, heureux et longtemps

lien initial 3 : Epigénétique : Comment l’environnement influence nos gènes

lien initial 4 : Épigénétique : Comment l’environnement, l’alimentation, ou le stress modifient nos gènes


 

lien 1 : La santé, c’est un esprit sain dans un corps sain

lien 2 : 12 mauvaises habitudes à bannir

lien 3 : Se ressourcer – Méditer – Voyager – … pour prendre un nouveau souffle

lien 4 : Créer son espace ZEN, pour mieux savoir se retrouver

lien 5 : Voyager, c’est y semer la diversité de la Terre. Voyager, c’est l’embellir des couleurs du monde.

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Lien 9 : b Bonheurs
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Lien 11 : se sentir bien
Lien 12 : prioriser son bien être
Lien 13 : équilibre
Lien 14 :zone de confort

Evolution corps homme en fonction de l alimentation et du mode de vie

 

Le médecin du futur ne donnera pas de médicaments ; il formera ses patients à prendre soin de leur corps, à la nutrition et aux causes et à la prévention des maladies. de Thomas A. Edison, inventeur du phonographe, 1903

Notre environnement a une influence sur notre génome par des modifications dites épigénétiques. Par exemple, avec des patrimoines génétiques identiques, deux jumeaux peuvent évoluer différemment en fonction de leurs environnements respectifs. Les individus, et par voie de conséquence leurs gènes, sont en effet soumis à de nombreux facteurs environnementaux : alimentation, maladies, médicaments et toxiques, stress, lieu & hygiène de vie, qui peuvent modifier autant leurs cellules que leur ADN.

Toutes ces modifications constituent autant de « marques épigénétiques » regroupées sous le terme d’épigénome. Les modifications épigénétiques sont induites par l’environnement au sens large : la cellule reçoit en permanence toutes sortes de signaux l’informant sur son environnement, de manière à ce qu’elle se spécialise au cours du développement, ou ajuste son activité à la situation.

Ces signaux, y compris ceux liés à nos comportements (alimentation, tabagisme, stress…), peuvent conduire à des modifications dans l’expression de nos gènes, sans affecter leur séquence.


Nous avons la chance de vivre dans l’ère moderne, avec un tas de connaissances sur le corps humain (métabolisme, santé et maladies, …), et ère moderne qui nous offre l’accès au mesures et contrôle de la santé sous le gîte du corps médicale mais également en santé connecté et mesures à la maison (taux de cétones, analyses corporel par segmentations, mini ECG, …).

Nous pouvons donc influer en temps réel sur notre santé, bien être, …, directement en modifient / adaptant nos modes de vie, alimentations, activités, … et en mesurer les résultats et modifications corporels / analyses médicales / performances / …

 


– Épigénétique & Holistique & Équilibre


 

lien 1 : Maîtriser sa vie – sculpter sa vie

lien 2 : Quitter sa zone de confort !

lien 3 : 12 mauvaises habitudes à bannir